Ma cousine en action - Histoires de Sexe

Ma cousine en action

... s’rait pas trop de deux pour faire ça, j’aurai encore besoin d’Monique. Ah, le vieux cochon, il a encore envie de se la tirer, la Monique. Si ça se trouve, cette histoire de maraudeur c’est vraiment du pipeau, c’est juste histoire de se baiser ma cousine. Et elle qui le regarde gentiment, avec des yeux langoureux, la salope, elle doit aimer ça, se faire prendre par ce vieux ridé. Je sens une pointe de jalousie qui s’empare de moi : pourquoi lui et pas moi ? Maintenant que j’ai vu ce dont ma cousine était capable, j’ai très envie, moi aussi, d’en profiter. Elle a beau avoir un derrière énorme, elle est foutrement baisable, la Monique. En attendant, le vieux satyre boit un coup avec nous. On trinque à nos retrouvailles, à ma belle caisse, aux romanos… L’alcool aidant, j’attaque fort, au risque de choquer tout le monde : — Ah, tu t’rappelles, Monique, quand nous étions mômes, la fois où nous avions été voir le taureau dans un champ et qu’il montait sur une vache, comme t’étais bigrement intéressée. Tu voulais pas qu’on rentre, tu voulais continuer à regarder.— Mais qu’est-ce tu dis donc là ? J’sais pas l’quel des deux était l’plus intéressé. Tu me demandais plein de précisions, si nos parents faisaient comme ça. C’est qu’t’étais déjà vachement vicieux à c’t’âge.— Vicieux, vicieux, et toi une drôle de gourgandine. L’bal du 14 Juillet, t’avais retiré ta petite culotte, parce que tu voulais que Simon t’invite à danser et qu’il te touche les fesses.— Y m’les a pas touchées… ...

... L’temps qu’y comprenne celui-là !— Simon ? Le fils Régent ? intervient alors sa mère.— Avec son œil de traviole, raille alors son père.— En tout cas ma copine Claudine a été bien heureuse avec lui, et il lui a fait plein d’marmaille, preuve qu’y avait qu’son œil qu’était d’traviole.— Ah, les mômes Régent, zont pas d’travail, de la graine de potence, à part s’droguer et peloter les filles, j’sais pas trop c’qui font, ces gamins-là, conclut alors Joshua.— C’est p’t’être eux les romanos, propose encore Fernand. Ma cousine s’empiffre d’une autre part de gâteau. À voir comme elle aime ça, ça fait plaisir à voir. — En tout cas, moi, c’que j’voulais en dire, c’est qu’t’étais une chaude lapine, que j’lui dis en la regardant droit dans les yeux.— Ça c’est mesquin, comme attaque, mon cousin. Pas plus chaude lapine que toutes les filles sensées du patelin… Tiens, reprends donc plutôt un verre de calva, ça t’évitera de dire des conneries et te remettra les esprits en place. Et l’on continue à blablater comme ça, autour de la grosse table, jusqu’à ce que la nuit tombe et que l’employé municipal décide qu’il est temps pour lui de rentrer. Quand j’vois l’œillade qu’il décoche à Monique en sortant, j’ai bien envie de lui défoncer sa face de cake. Pas vraiment discrets ces deux là, je me demande si les parents sont vraiment dupes… Surtout que la grosse ne dit visiblement pas non, qu’elle le crédite d’un grand sourire. Elle le raccompagne jusqu’à sa voiture. Ça sent le rencart à plein nez. Dès le ...