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Aventure dans un gîte naturiste (16)
Datte: 04/10/2017, Catégories: Partouze / Groupe
Le gîte. Conflit de générations au sauna. 2 -Ce sera une première pour moi ! Je n’ai encore jamais osé ! (La suite) La mère et la grand-mère de Solène l’étendent sur une couchette et entreprennent la préparation de son conduit anal. L’une après l’autre, elles engluent de leurs salives son petit trou ridé. Puis avec précaution, introduisent un puis plusieurs doigts à l’intérieur. Yvette va même chercher un peu de cyprine dans le vagin voisin pour lubrifier encore plus ses doigts. Estimant la lubrification salivaire et digitale largement suffisante, Simone m’invite à m’asseoir à nouveau afin que j’honore sa petite fille à la manière de Sodome. Je la réconforte : -N’ai pas peur ! Tu verras que ce n’est qu’un mauvais moment à passer ! Je te laisse diriger à ton rythme ! Solène commence par se défoncer la chatte avant l’instant fatidique. Elle prend ma verge d’une main et la retire de sa féminité pour la placer à l’entrée de ses reins. Deux fois elle met en contact les deux protagonistes mais n’ose pas s’aventurer plus loin. — NON ! Impossible, c’est impossible, il va m’exploser le fion ! Il est trop gros ! Elle se cabre mais je la retiens solidement et force l’entrée de mon gland qui disparait en elle. La douleur doit être intense car elle pousse un hurlement. Je ne bouge plus. Son sphincter étrangle ma bite entre le chapeau et la tige. Je ne veux pas la faire souffrir. Elle n’ose plus bouger. Sa grand-mère, la voyant souffrir lui pose les mains sur ses épaules et la console : ...
... -Tu as fait le plus dur et maintenant tu hésites ? Quand le vin est tiré, il faut le boire ! Et elle pèse de toutes ses forces sur les épaules de sa petite fille. Sans qu’elle n’ait le temps de se rendre compte de ce qui lui arrive, je me retrouve fiché jusqu’aux couilles dans son cul qui vient de céder brusquement, la transperçant d’un coup. Ma bite me fait mal tellement elle est tendue et gonflée, comprimée par cet anus si serré. Elle hurle encore une fois, un long cri inarticulé qui monte de tout son corps, son rectum tellement étiré mais qui ne peut se contracter. Voyant ça, sa mère vient à son secours. Elle s’attaque au clitoris délaissé et le suce derechef. La douleur ressentie est atténuée par la volupté des caresses de sa mère. Je la laisse s’habituer à l’intrus puis commence à la défoncer de ma bite d’âne. Mon bas- ventre frappe ses fesses, mon défonce-cul rentre au plus profond de son corps. Des larmes coulent sur ses joues. Je ne sais pas si ce sont des larmes de plaisir ou de douleur. Elle crie, gémit, pleure, rit. La douleur la rend folle mais la sensation d’être pleine et possédée par un étalon fait qu’elle en veut toujours plus. Elle monte et descend seule sur ma bite maintenant, acceptant mon membre viril en gémissant. Des spasmes irradient dans tout son corps quand elle jouit en une longue série de tremblements qui s’enchainent, elle est prise d’une crise orgasmique qui n’en finit plus... La défonçant comme un possédé je grogne : — Je... je vais jouir moi ...