1. Aventure dans un gîte naturiste (16)


    Datte: 04/10/2017, Catégories: Partouze / Groupe

    ... aussi ! Je vais graisser ton beau p’tit cul ! Je me tétanise au plus profond d’elle, tous mes membres tendus, et envoie ma généreuse purée dans le fion défoncé. Mon foutre chaud envahit ses entrailles. Je sors mon engin dégoulinant dans un bruit de bouteille que l’on débouche, entrainant son trou du cul qui telle une ventouse s’accroche à ma bite. Quand je retire ma queue de son fion débordant de foutre, le liquide blanc coule le long de ses cuisses et goûte par terre. Je m’effondre sur la banquette, épuisé par ce triple enculage. -Putain les filles ! Vous m’avez vidé les burnes ! Mais il va falloir que j’aille me soulager la vessie. -Pas question ! Me rétorque Simone. Vide-toi dans ma bouche ! Ce n’est pas que j’aime ce genre de pratique. Mais je suis trop fatigué pour me rebeller et accède à sa demande. Elle ouvre la bouche et engloutit ma lance. La miction est difficile car ma verge est encore en semi-érection. Des contractions incontrôlées de ma vessie projettent avec une force incroyable l’urine qui jaillit avec encore plus de force que le sperme lors de l’éjaculation, et avec un volume beaucoup plus important. Simone a eu les yeux plus gros que le ventre : la douche dorée est trop abondante pour être piégée intégralement dans sa bouche, elle doit retirer ma verge de ses lèvres. La puissance des jets successifs jaillit à plusieurs mètres quand elle comprime ma verge. Je crépis les murs qui heureusement sont faits pour ça dans un sauna. L’humidité étant la base de cette ...
    ... pratique. Elle me reprend en bouche. Sa lubie m’a tellement excitée que je commence à rebander. Elle en profite pour entreprendre une vigoureuse fellation. -S’il te plait, tu peux nous enfiler encore une fois ? M’implore sa fille. -Hé ! Je ne suis pas une machine à baiser ! Je commence à fatiguer ! Tu vois bien que j’ai des difficultés à atteindre la pleine érection ! -Tut, tut, tut ! Ne te défile pas ! Tu as une réputation à tenir ! Tu dois satisfaire encore une fois notre famille de dépravées ! Je suis sûre que tu en es encore capable ! Laisse-toi faire ! Allonge-toi sur le ventre ! Je me couche sur la banquette de bois, les lames sont suffisamment écartées pour que ma pine en semi-érection s’insinue entre deux longerons. Simone lubrifie ses doigts et sans hésitation plonge son majeur entre mes fesses. Je n’ai pas le temps d’être surpris que son doigt atteint ma prostate pour un touché rectal. Elle me prodigue alors un massage. C’est un plaisir que je ne connais pas mais qui a une réaction immédiate. C’est très agréable et ça a surtout comme résultat de redonner toute sa vigueur à ma verge. Mais quand je veux me relever, j’ai la désagréable surprise de me retrouver piégé sur la banquette. Ma teub ayant repris sa grosseur habituelle, est coincée entre deux lattes. Les filles rigolent quand je leur explique ce qui m’arrive. Solène se moque de moi : -Toi qui as l’habitude de forcer des trous trop serrés, tu ne peux pas te dépêtrer de deux misérables bouts de bois ? Vexé par ses ...