Clic-clac
Datte: 30/06/2020,
Catégories:
hh,
inconnu,
parking,
hsodo,
init,
Gay
Clic-clac, le bruit du clignotant résonne dans ma tête quand je décide de bifurquer sur cette aire de repos le long de la route nationale. C’est une belle matinée d’automne. Dans mon planning, il n’y a rien d’urgent à faire et je sais très bien que ce parking n’est pas si anodin. C’est un lieu de rencontre gay. Je m’arrête à tout hasard pour voir de plus près de quoi il s’agit. Voir si quelqu’un traîne dans sa voiture. J’obéis plus à une impulsion irrépressible qu’à un vrai choix. Ma curiosité et les frissons qui l’accompagnent, ont décidé à ma place. Je sais pas jusqu’où j’oserai aller. J’ai l’impression bizarre d’être en mode automatique, le cerveau débranché. Un regard à l’extérieur et je vois une camionnette de travail qui est garée un peu plus loin avec son conducteur. Ma main se pose sur l’ouverture de la porte. Je pousse lentement la portière ne sachant trop que faire. Le prétexte d’un arrêt pipi sur le bord de la route me semble recevable. Jusque-là, rien de grave. Je sors donc ma bite toute molle de mon jeans et me soulage tout en croisant mon regard pour observer l’attitude de mon voisin. Rien à signaler, il est trop loin pour savoir ce qu’il fait. Un peu surpris par la fraîcheur de cette journée d’automne, je remballe mon attirail et remonte comme si de rien n’était dans ma bagnole. C’est là que tout s’emballe. Les clefs tournent dans le démarreur. Le moteur se lance. Je sais très bien à quoi je m’expose. 150 m plus loin, il y a un petit chemin terreux qui file à ...
... travers la campagne. Il mène à des endroits tranquilles loin des regards indiscrets. Quand je vois la voiture démarrer derrière moi et me suivre, une immense vague de chaleur me submerge. J’ai l’impression de l’appâter. Il tourne, emprunte le même chemin que moi. Je sais rien de celui qui me suit. Au lieu d’avoir peur, ça m’excite. J’imagine sa queue toute raide bien au chaud dans son slip. Je ne pense plus qu’à ça. Après avoir roulé trois minutes sur cette piste défoncée, je mets mon clignotant et m’arrête. La voiture se gare derrière moi. Un garçon d’une trentaine d’années en descend. Plutôt rond et d’allure jeune, il porte un jogging gris ciel. — C’est tranquille ici sont ses premiers mots. Je m’entends dire le plus spontanément du monde : — T’es venu pour la même chose que moi.— Oui, viens, me répond-il. Ces deux mots laconiques font disparaître toute réticence de ma part, je le suis. Plantés au milieu de la campagne, face à face, je ne peux me retenir de prendre son sexe dans ma main à travers le lourd tissu du jogging. Je sens sa grosseur, sa raideur. D’un geste rapide l’inconnu baisse son fute jusqu’au haut de ses cuisses découvrant un beau sexe bien poilu et épais. Je regarde le spectacle avec envie. J’hésite une seconde et mes doigts partent à la rencontre de cette bite. Douce, chaude, presque suante, elle laisse échapper des senteurs excitantes et bandantes qui viennent percuter les neurones de mon cerveau. C’est bon. Irrésistiblement mes hanches viennent se glisser ...