Clic-clac
Datte: 30/06/2020,
Catégories:
hh,
inconnu,
parking,
hsodo,
init,
Gay
... dans son dos. Elles se collent à ses fesses rebondies, se frottent de haut en bas. Sans rien contrôler, mon bras part à la rencontre de son entrejambe. Il frôle, effleure, touche. Le contact de ces boules toutes molles avec leur épaisse toison noire m’électrise. Je les soupèse, les malaxe avec infiniment d’envie. Son bassin ondule. Il apprécie et se jette au-devant de mes caresses. Il s’éloigne de mon bassin pour y revenir aussitôt en se frottant de plus belle. Dans mon jeans, ma queue se raidit, devient hyper sensible. Le moindre frôlement provoque des ondes de chaleur dans tout mon corps. Je me sens littéralement fondre avec son gourdin toujours emprisonné dans ma main. Cette extrême tension a fait perler une goutte de sueur dans son cou, je me mets à lécher doucement sa nuque. Il gémit entre ses dents. Plutôt bon signe ! Je m’enhardis et continue ma caresse à pleine bouche. Il se cambre. J’ai l’impression que ses fesses s’entrouvrent sous son jogging. Ma bite à travers mon jeans vient épouser le creux de ses reins. N’y tenant plus, je baisse mon froc et laisse jaillir ma gaule toute raide. Elle sort de mon slip comme un ressort. Je déchire vite fait un préservatif et l’enfile tout tremblant. L’inconnu agrippe l’élastique de son jogging et le fait descendre lentement le long de ses jambes. Je vois devant moi pour la première fois la blancheur d’un cul tendu vers ma tige. Tout se bouscule dans ma tête. Tout va trop vite, je n’ai pas eu le temps de me faire à cette ...
... situation. Me retrouver à moitié à poil en pleine campagne, prêt à plonger dans ce corps dénudé, à m’introduire dans ces deux globes offerts à toutes mes envies, ça fait beaucoup, beaucoup trop. Pourtant je pose mon gland dans le sillon de ses fesses et en glissant vient buter sur son petit trou. Tout chaud et élastique. Des effluves de cul, de sexe, de poils viennent envahir mes narines. Je respire à pleins poumons et pousse lentement, profondément. Je m’immobilise, les jambes tremblantes et flageolantes. Je suis dans son cul. Il se redresse lentement en prenant appui sur le tronc d’un arbre devant nous. Ça lui fait cambrer le bas des reins. Sans faire rien de plus, mon zob s’enfonce à nouveau. Il glisse dans un fourreau tiède et accueillant. J’entends le mec gémir de plaisir, une plainte discrète qui m’invite à poser mes mains sur ses hanches. Une fois de plus je suis surpris par la tiédeur de sa peau et sa douceur. Les secondes s’égrènent et mon gland palpite toujours au creux de son ventre. Sans bouger, je profite de la situation pour lui mordiller la base du cou. Il s’effondre et tombe à genoux, m’embarquant dans sa chute. Une fois stabilisé dans l’herbe fraîche, son bassin se décolle légèrement et se met à tanguer de droite à gauche. Tout son corps vibre avec passion. C’est plus lui qui s’encule que moi qui le baise. Je me couche sur son dos, l’enveloppant entre mes bras. Ma main droite se glisse sous son menton et descend le long de son torse jusqu’à venir toucher sa tige, la ...