Fête nationale
Datte: 01/07/2020,
Catégories:
Anal
Hardcore,
Partouze / Groupe
Un soir du 14 juillet, en 1988, nous étions plusieurs copains du même lycée à s’être donnés rendez-vous à une esplanade donnant sur les quais d’un port du nord de la France pour assister au traditionnel feu d’artifice.Vers 23 heures, au moment où les gens s’agglutinaient autour des barrières métalliques, on vit arriver Philippe, un camarade de classe qu’on attendait depuis une bonne heure. A quelques pas derrière lui suivaient une dame très élégante et un homme, tous deux beaucoup plus âgés, qui, il nous l’apprit tout de suite étaient ses parents. L’un de nous éclata de rire et lui fit remarquer qu’il se faisait "accompagner par papa et maman" le soir venu. Son père vint nous serrer la main mais regagna presque aussitôt sa voiture. On comprit, à ce qu’il disait à sa femme, qu’il n’allait pas revenir avant la fin du spectacle. Celle-ci prit place prés du fiston, qui se chargea des présentations. Elle s’appelait Louise. "Philippe nous avait toujours caché l’existence d’une mère aussi belle" dis-je avec un grand sourire. Le compliment sembla la toucher car on la vit rougir. "Arrêtez vos conneries..." lâcha Philippe, qui ne semblait pas apprécier nos remarques. "Venez, par ici..." fit Jérôme, qui avait repéré un endroit plus calme.On se fraya un chemin au milieu de la foule pour atterrir au bout d’une jetée, face à un navire tout attaqué par la rouille. La mère de Philippe, malgré ses talons aiguilles, nous rejoignait. Sous les faibles lumières qui arrivaient jusqu'à nous on ...
... ne la distinguait pas entièrement mais ce qu’on voyait nous renseignait suffisamment sur son physique. Elle portait un tailleur des plus classique d’un blanc immaculé et était chaussée de talons aiguilles de la même couleur. Son corsage avait du mal à retenir une paire de seins dont les tétons pointaient durement dans notre direction. Ces deux globes nous mettaient tous, à l’exception de Philippe bien sur, en appétit.Déjà, à une centaine de mètres devant nous les premières détonations retentissaient signalant le début du spectacle. "Regardez un peu par ici.." Fit quelqu’un en sortant d’un sac à dos une bouteille de whisky. "On est une dizaine mon gars" Fit un autre "Ta bouteille c’est une goutte d’eau..." "Vous n’allez pas commencer à vous chamailler... Tenez, voilà qui vous détendra un peu..." Franck, un gars de terminal, venait de sortir de son manteau une sorte de tabatière contenant cinq ou six pétards gros comme un pouce. "Hé les mecs, vous êtes fous... Pas devant maman..." Philippe commençait à flipper quand sa mère prit la parole "Je ne suis pas aussi coincée que vous le pensez. Si ce n’est que ça. Tiens... Toi... Oui, toi... Allume m’en un... N’aie pas peur... Vas-y..." On n’en revenait pas, la mère de Philippe prit le joint que Franck venait d’allumer et commença à tirer. Les toussotements nous firent éclater de rire. Il était évident qu’elle n’avait jamais fumé de sa vie, même des cigarettes. Malgré nos ricanements, elle ne s’arrêta pas de tirer, si bien qu’elle le ...