1. Fête nationale


    Datte: 01/07/2020, Catégories: Anal Hardcore, Partouze / Groupe

    ... termina sans que personne ne puisse y goûter. Franck en redistribuait et un nuage de fumée commençait à s’élever au-dessus de nous. Louise, appuyée contre une aussière attachée au quai entamait son deuxième joint avec un sourire de satisfaction au coin des lèvres. Philippe, libéré de toute angoisse participait lui aussi. Le feu d’artifice devait être à son apogée, mais déjà on n’entendait plus grand chose. Et on n’en était bien incapable. Cette herbe était d’une qualité rare. On s’éloigna tous du quai de peur de basculer dans la flotte. Nos haleines respectives exhalaient maintenant, en plus, une forte odeur de mauvais bourbon. Louise, appuyée contre un baril traînant par là, finissait de boire maladroitement le fond de la bouteille. "Alexis... Alexis...Il va... Il va arriver..." "Qu’est-ce qu’elle raconte ta mère, Philippe?" "Elle parle... De mon père" répondit Philippe difficilement.Elle avait peur qu’il la trouve dans cet état. "Attendez... Madame... Suivez-nous, sur le quai en face, à l’abri des projecteurs... Il ne vous trouvera pas" Franck titubait tout en prononçant ces mots. Lentement, notre petit groupe quitta l’esplanade. Louise, pieds nus, tenaient ses souliers ainsi que sa veste dans ses mains. Deux d’entre nous l’aidaient à se maintenir debout tellement son euphorie était grande. Le bruit des explosions s’estompait au fur et à mesure qu’on atteignait le quai opposé. On traversait un pont-levis quand une voiture apparut. Brusquement, de peur de voir surgir son ...
    ... mari, Louise se mit à courir en direction d’un container laissé à l’abandon. La voiture disparut aussi vite qu’elle arriva et le souffle coupé, exténués on finit par atteindre Louise, haletante, assise par terre, le dos appuyé contre la paroi métallique.Philippe s’écroula le premier. Chacun, l’un après l’autre, on prit place aux côtés de sa mère, qui commençait à pleurer. Nos regards se croisèrent. Les jambes écartées, elle essayait de remettre ses talons hauts. Ce faisant, elle nous laissait voir sa culotte, tout en dentelle, qui laissait impudiquement à découvert, appétissante, une partie d’une de ses grandes et magnifiques lèvres. Perdant toute inhibition, elle se caressa même un instant l’entrecuisse, jusqu'à ce qu’on son index frôle le mince ourlet de sa culotte. Louise nous regardait, chacun droit dans les yeux, sans vraiment nous fixer, mais comme pour nous supplier de la laisser quelque peu tranquille, le temps qu’elle recouvre ses esprits et se rende compte à quel point les effets combinés de l’alcool et du cannabis l’avaient rendu aussi chaude et lascive.Machinalement, elle écarta un peu plus les cuisses tout en basculant sa tête en arrière. Franck, très entreprenant, s’approcha doucement à ses côtés et remonta lentement la culotte. On découvrit petit à petit la présence d’une motte toute rasée, splendide, malgré la faible intensité du réverbère. Un délice. Jérôme, aussitôt, accroupi, se mit à lui lécher goulûment la fente, tandis qu’on lui malaxait les seins. La scène ...