1. Inceste, la réalité est encore mieux que le rêve. (8)


    Datte: 01/07/2020, Catégories: Inceste / Tabou

    ... chatte offerte. -Oouuiiii ! Goûte-moi, avale-moi… c’est si bon. N’arrête pas ! Continue, lèche-moi à fond, fais-moi couler ! Ta langue me lèche toute la chatte sans en oublier un recoin! Elle écarte encore plus les cuisses pour que sa tête puisse aller encore plus prêt, donnant un coup de bassin pour venir encore plus à sa rencontre. La queue de Michel est redevenue toute raide depuis déjà un moment. Mais à défaut de sa queue, il se serre de ses doigts qui les fouillent avec agilité et font des va-et-vient tantôt rapides, tantôt lents. Elles sont au bord de la jouissance ! Mais, juste avant qu’elles n’y arrivent, il retire ses doigts. Claudine écarte impudiquement ses cuisses et supplie Michel de revenir à la charge. -Allez ! Maman a très envie que tu lui lèches la chatte, oh si j’avais su que tu savais si bien le faire je te l’aurais demandé bien plus tôt ! Michel change de sexe et se remet aussitôt à l’ouvrage excité par les paroles d’encouragement de sa mère. -Oui, c’est ça, plus fort, suce-moi le clito, bois ma mouille, bouffe-moi la chatte, embrasse-la, lèche-la, bouffe-la, tu sais y faire, mon bébé, haaaaaa, haaaaaaaaaaaaa. ! Il passe de plus en plus rapidement de l’une à l’autre, s’enfonçant le plus profondément possible entre leurs cuisses interrompant ses manœuvres quand il les sent prêtes à jouir. Elles n’en peuvent plus, halètent comme des bébés. Il sent tous leurs muscles tendus à l’extrême ; elles vont jouir. Il lèche, mord, suce encore si bien que sa mère a de ...
    ... multiples orgasmes presque ininterrompus sous l’effet de sa langue agile et insatiable. Dans un long râle profond elle déverse dans sa bouche un liquide abondant et chaud. Il repasse entre les cuisses de Patricia et en quelques coups de langues adroits déclenche à nouveau un geyser de cyprine. Il avait beau s’y attendre et avoir reculé vivement la tête, les jets d’une incroyable puissance lui noient le visage avant de s’élever dans les airs et de lui retomber dans le dos et couler sur ses fesses avant de finir au sol. Les deux femmes sont exsangues sur le lit et ne réagissent plus. Elles ont joui comme jamais. Fier du devoir accompli il se relève, épuisé, la bouche et la gorge rassasié, maculé de leurs jus mêlés. Mais les deux amantes en veulent plus. Elles se relèvent, se regardent d’un air complice, attirent Michel à son tour sur le lit et l’étendent sur le dos. Patricia se met entre ses jambes et prend ses couilles à pleine bouche tenant son engin d’une main. Sa tête remonte jusqu’au gland qu’elle agace avec sa langue. Sa main monte et descend sur la hampe pour la rendre bien dur pendant qu’elle suce son gland. Il se laisse faire. Elle passe plusieurs fois le monumental gland sur ses lèvres et commence à le sucer, à l’enfoncer dans sa bouche, elle essaie comme une vraie malade d’en faire entrer le plus possible. Mais il y en a trop. Elle sent qu’il durcit encore, il a l’air d’apprécier. Elle l’enfonce dans sa gueule grande ouverte, en le branlant vigoureusement pendant que ...