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Inceste, la réalité est encore mieux que le rêve. (8)
Datte: 01/07/2020, Catégories: Inceste / Tabou
... une sangsue continue à compresser sa verge et étend sur le lit avec douceur Patricia qui s’est évanouie de bonheur. Claudine est un peu déçue car elle va devoir attendre pour elle aussi connaître le 7ème ciel, mais elle comprend vite son erreur en voyant le bélier toujours dressé. Soudain, Michel l’attrape par les hanches et la soulève comme une poupée la reposant face à lui assit au bord du lit. Il écarte ses jambes de chaque côté des siennes. Lui suce les tétons avec passion. Il est devant elle, avec son pieu géant encore raide qui pointe en l’air. Elle ne peut détacher son regard de son gourdin totalement obnubilée par une seule chose, s’en emparer, le peser, le tâter, le branler, faire sortir cet énorme gland du prépuce, prendre sa queue de cheval dans ses mains, cette verge si énorme, si raide et frotter son sexe dur contre ses fesses. Puis Michel la soulève à nouveau, Patricia qui vient de reprendre ses esprits prévient Claudine. — Fais attention, ma chère, il a une queue d’âne ! Il éclate de rire. Puis il fait redescendre lentement le corps de sa mère, l’empalant sur son énorme queue. Son corps se raidit sous l’envahissement de ce jonc titanesque, les parois vaginales se contractant autour de la formidable pine de son fils. Il ne cesse ses allers retours de son sexe toujours dur. Cela fait une espèce de bruit de succion obscène et humide, elle est étonnée qu’il n’ait pas débandé après ses deux jouissances rapprochées. Elle se sent chaude et mouillée à l’intérieur ...
... avant que sa chatte n’explose dans un formidable orgasme, faisant jaillir de la mouille autour de son mât massif. Elle se colle contre sa poitrine, l’embrasse à pleine bouche, ses seins aux bouts très gros et très sensibles s’écrasent sur son torse. Claudine ressent toujours la présence de ce boutefeu en elle et essaie de le faire ressortir, avant de le remboîter bien en elle. Elle repense à mon mari, à son sexe ridicule comparé à celui de Michel qui se recroquevillait comme un escargot dans sa coquille après l’acte qui ne durait que quelques minutes. Elle contracte ses muscles vaginaux compressant son gland abouté au col de l’utérus à chaque pénétration. Il essaie de bouger, mais sa position le prive de la conduite de l’amour alors il la couche sur le côté lui soulevant une jambe et il entreprend un pilonnage dément la pénétrant en force. Il la baise mécaniquement à grands coups de reins, avec une régularité de métronome. Le troisième chargement de sperme jaillit hors de sa bite. Michel se répand à l’intérieur de sa mère, elle le sent gicler puissamment, inondant les profondeurs de sa grotte, son utérus est noyé sous un chargement chaud et libérateur de liquide séminal. Elle relâche ses muscles épuisés autour du manche juteux, l’aidant à se vider complètement les burnes jusqu’à la dernière goutte dans son ventre. Claudine n’a même plus le sentiment de culpabilité, ni honte ni dégoût ne viennent à son esprit depuis qu’elle a succombé pour la première fois son propre fils. Elle ...