1. Une Bordelaise bouleversante


    Datte: 05/10/2017, Catégories: fh, hagé, jardin, caférestau, amour, cérébral, Voyeur / Exhib / Nudisme nopéné, confession, mélo, regrets, lieuxpubl,

    ... assortie aux tons de sa jupe. Nous sommes sortis du restaurant. Il faisait beau et doux, le soleil d’hiver réchauffait l’atmosphère. Je lui ai proposé de marcher un peu le long de la Garonne. Suite à l’ambiance ayant régné pendant le déjeuner, je m’étais préparé à un refus poli. À ma grande surprise elle a accepté avec un vrai sourire, d’un ton presque enjoué. Nous avons donc marché, côte à côte, sur le quai longeant la Garonne. Je lui ai parlé du site de bas nylon où elle avait posté quelques photos. Tout à coup, elle s’est mise à doucement pleurer. Je l’ai prise dans mes bras, tentant de la rassurer à l’aide de quelques mots de réconfort. J’ai déposé un baiser sur son front, ses joues, à la commissure des lèvres. Elle me laissait faire ; des larmes coulaient lentement le long de ses joues, auxquelles je répondais par de doux baisers. La serrant toujours contre moi en la tenant par la taille, j’ai posé mes lèvres sur les siennes, une fois, deux fois, puis suis revenu sur ses tempes. Lorsque, une fois de plus, j’ai posé mes lèvres sur les siennes, elle les a entrouvertes ; ma langue s’est faufilée à la rencontre de la sienne. Notre baiser fut d’abord timide, doux, puis plus profond. Nos langues se sont emmêlées. Elle s’est offerte, collée contre moi. Nous avons repris notre respiration, elle m’a souri, puis nous nous sommes encore embrassés, fougueusement cette fois-ci. C’était délicieux ! Je n’étais pas excité, mais dans un état d’agréable plénitude, bien que les ...
    ... battements de mon cœur avaient fortement accéléré. Le stress qui m’avait paralysé jusqu’à présent avait disparu. Nous avons passé l’après-midi à marcher, main dans la main, ou moi lui tenant la taille, et à nous embrasser en nous arrêtant tous les dix mètres. Ses baisers, nos baisers, étaient d’une tendresse, d’une profondeur inouïe. J’ai rarement connu une femme qui embrasse aussi bien que Carole : des baisers profonds, humides, une langue qui se liait à la mienne ; j’en ai encore un souvenir ému. J’ai ouvert deux boutons de son chemisier, saisi un sein dans ma paume, agacé le téton dur et tendu en le pinçant légèrement. Elle se laissait faire et me tendait ses lèvres dès que j’approchais les miennes. Nous nous sommes assis sur un banc, face à la Garonne. Vérifiant que les autres promeneurs ne pouvaient nous voir, j’ai posé une main sur son genou, tentant de remonter un peu sa jupe pour découvrir ses cuisses, avec difficulté car la jupe était serrée. Elle m’a aidé en desserrant les genoux. J’ai pu découvrir que les bas qui gainaient ses jambes étaient tirés par un porte-jarretelles blanc ! Était-ce habituel dans sa vie de tous les jours, ou l’avait-elle mis pour moi ? Je n’aurai jamais la réponse à cette question. J’ai doucement caressé sa cuisse, joué avec l’attache de la jarretelle. Elle était passive, tellement passive que, alors que j’aurais dû bander dur, je n’ai eu qu’une demi-érection. À quelques années de la soixantaine, je ne bande plus comme un jeune homme ; il me faut me ...
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