1. Conte vert du Périgord rose


    Datte: 01/07/2020, Catégories: ffh, bizarre, campagne, Oral conte,

    Je suis chargé de rédiger le chapitre Périgord dans un guide touristique, et aujourd’hui je teste un de ces petits chalets qu’on loue pour le WE ou la semaine, dans la foret de la Double. C’est une immense foret parsemée de milliers d’étangs, paradis des canards sauvages, des hérons et des grenouilles. Le chalet est situé tout au bord d’un petit lac, perdu au milieu des bois. Sa terrasse de planches surplombe l’eau, posée sur pilotis. Le rêve du pêcheur ! Je suis assis, ou plutôt affalé, dans un vieux fauteuil de cuir, devant la porte. Je contemple le vol des libellules qui rasent le miroir de l’eau dans leur danse amoureuse, la poule d’eau, là-bas dans les roseaux, qui bâtit son nid. Le soleil donne et une douce torpeur m’envahit. J’ai du mal à résister à l’appel de la sieste. — S’il vous plait, aidez-nous. La voix me fait sursauter. J’ouvre les yeux, et là, c’est le choc ! Devant moi, deux très belles jeunes filles se tiennent debout sur les planches. Elles sont sublimes, dans une combinaison en vinyle vert brillant qui les couvre comme une seconde peau. Leur longue chevelure blonde tombe en cascade sur leurs épaules. On dirait des jumelles. Le vinyle moule deux belles poitrines rondes, aux tétons proéminents. Le ventre est plat, les jambes fuselées. À la naissance des cuisses, on devine un sexe bombé, avec la forme de la fente dessinée sur la peau verte. — Nous avons besoin d’un homme !— Heu ! Bien sur. Vous êtes en panne ? Vous êtes perdues ? Vous avez soif ? Je balbutie ...
    ... comme un niais des banalités affligeantes. — Non, nous désirons juste un homme. C’est vital pour nous. D’où sortaient ces magnifiques créatures ? Pas de route à proximité, pas d’habitation à des kilomètres à la ronde, et pas le look de chercheuses de champignons. — Ne nous regardez pas de cet air ahuri ! On ne vous plait pas ? Nous ne sommes pas assez belles ? Attendez, nous allons commencer par réveiller vos sens endormis. Nous savons comment nous y prendre. Restez assis. Elles s’enlacèrent, là, à deux mètres de moi, et commencèrent à se caresser voluptueusement. Leurs mains s’attardaient sur un sein, une fesse, entre les cuisses. Elles s’embrassaient maintenant à pleine bouche. J’avais l’impression de voir le vinyle transpirer et se couvrir d’une fine rosée. La vue de deux jolies filles qui se caressent produit généralement un effet immédiat sur tout homme. Bien éveillé maintenant, je jouissais du spectacle et la bosse sous mon pantalon attestait que je l’appréciais au plus haut point. Avec un synchronisme parfait, elles descendirent la fermeture de leur combinaison située dans le dos et, doucement, se découvrirent les épaules puis le torse. Elles sortirent les bras et reprirent l’épluchage. Le vinyle était maintenant sur les hanches et descendait toujours. Il collait tellement qu’il faisait un bruit de sussions en quittant la peau Elles enjambèrent leur fourreau. Elles étaient entièrement nues. Leur peau était blanche et nacrée, comme si elle n’avait jamais vu le soleil. ...
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