1. Conte vert du Périgord rose


    Datte: 01/07/2020, Catégories: ffh, bizarre, campagne, Oral conte,

    ... Leurs bouches étaient toujours soudées l’une à l’autre. Elles se caressèrent encore quelques instants et certaines de l’effet produit sur moi, s’approchèrent du fauteuil. Elles étaient complètement imberbes. Pas un poil, nul part. — Tu es prêt à nous honorer ? Tu dois commencer par boire à la source. Tu nous trouves à ton goût ? Par qui veux-tu commencer ? Sans attendre de réponse, celle qui a parlé escalade le fauteuil, une jambe de chaque côté de mes cuisses. Son sexe est maintenant à un souffle de ma bouche. Ses doigts écartent ses lèvres pour m’offrir sa vulve rose. L’entrée de son vagin palpite doucement. J’y pose mes lèvres. La chair est douce, chaude et élastique. Une rosée odorante perle de sa fente. Elle sent le sous-bois, le poivre et l’iode. J’agrippe ses fesses et plaque ma bouche sur son abricot. Ma langue fouille son vagin du plus profond possible, puis remontant entre les plis de chair, mes lèvres emprisonnent son clitoris qui bande comme une petite bite. Je la sentis se tendre. Ses fesses crispées sont dures sous mes doigts. Elle me saisit la tête pour me plaquer encore plus fort contre sa vulve. Ma langue fouille et fouille encore. Ses sécrétions vaginales de plus en plus abondantes commencent à me remplir la bouche. Elle se met à gémir. Son corps ondule au rythme de mes coups de langue. — Je crôa que je vais venir ! Elle a à peine fini sa phrase qu’elle est secouée de spasmes. Son orgasme la submerge. Elle libère un flot de nectar mielleux qui me coule ...
    ... dans la gorge, liqueur d’amour de femme. Vite calmée, elle se détache de moi, me permettant de reprendre mon souffle. Pas pour longtemps. Un autre sexe ouvert vient se plaquer sur ma bouche encore humide de sa compagne. Il est étrangement semblable au précédant. Seuls l’odeur et le goût changent, mélange de fruits de mer, cannelle et citron vert. Elle réagit de la même façon à mes coups de langue et un même liquide crémeux vient m’envahir la bouche quand elle jouit à son tour. Elle balbutie quelque chose comme « je crôa que ce sera bon » pendant qu’elle se libère par saccades. Elles sont de nouveau debout devant moi, le sexe nu luisant et poisseux. — Merci, homme. Maintenant laisse toi faire ! Une s’agenouille au pied du fauteuil. Elle écarte mes cuisses et libère mon membre dur et gonflé de sa prison de toile. Elle le saisit à pleines mains et le gobe goulûment de sa bouche gourmande. L’autre se penche sur moi, m’offrant sa poitrine triomphante. Elle me caresse le visage de ses longs cheveux blonds en ouvrant ma chemise. Ses doigts emprisonnent mes tétons distendus, les roulent, les pincent. Elle plaque sa bouche sur mes lèvres et sa langue agile s’enroule autour de la mienne, fouille ma cavité buccale. Je sens un doigt curieux s’insinuer entre mes fesses, forcer l’entrée de l’anus. La bouche s’active toujours sur mon pieu avec fougue, la langue titille le gland, les lèvres montent et descendent le long de ma hampe. Sous les stimulations multiples et pressions simultanées, je ...