1. L'esprit d'escalier


    Datte: 02/07/2020, Catégories: fh, ff, ffh, fplusag, jeunes, voisins, profélève, nympho, grosseins, collection, fsoumise, fdomine, hdomine, contrainte, massage, entreseins, Oral fgode, pénétratio, double, fsodo, jeu, sm, attache, bourge, hff,

    ... derrière ma tête. Je fermai les yeux un instant pour savourer le plaisir de sentir sa culotte contre mon torse quand soudain, elle m’attacha les mains à un montant de mon lit avec ma propre ceinture. Elle sortit ma queue de mon pantalon, la prit dans sa main et la lécha sur toute sa longueur, les yeux dans les miens. — Tu es mon prisonnier maintenant, Jean-Baptiste. Puis elle se redressa, m’attacha les jambes avec les draps et entama un long strip-tease à l’issue duquel elle me déshabilla également. Elle enleva tout d’abord son gilet, défit ses cheveux puis dégrafa son soutien-gorge. Ensuite, toujours en dansant de façon lascive, elle s’accroupit tête-bêche au-dessus de moi et ondula du bassin à quelques centimètres de mon visage. Je ne pouvais que la lécher. De son côté, elle se contentait de frôler ma queue avec ses cheveux. Je la suppliai de me prendre dans sa main, elle se dégagea, revint à genoux devant moi et me branla dans ses cheveux, lentement. À une ou deux reprises, elle me lécha le bout du gland, juste pour maintenir l’espoir. Puis elle s’enfonça une bougie dans la chatte et, accroupie et me tournant le dos, elle se mit à onduler au-dessus de mon visage, jusqu’à ce que j’attrape la bougie entre mes dents. Elle entama alors un lent va-et-vient sur la bougie. Elle se fit jouir sur la bougie, toujours coincée dans ma bouche. J’étais aux premières loges pour voir rentrer et sortir la chandelle dans sa petite chatte et quand elle atteint l’orgasme, ma frustration ...
    ... était à son comble. Après avoir joui, elle se leva et partit prendre une douche, sourde à mes suppliques. En ressortant, elle se sécha les cheveux, uniquement vêtue de sa jupe plissée et de ses petites baskets blanches, ses seins se balançant librement. — Détache-moi maintenant, Camille, tu as eu ce que tu voulais.— Je ne sais pas, mon petit Jean-Baptiste. Je pense qu’on peut encore t’utiliser dans cette position, tu ne crois pas ?— Mais qu’est-ce que… Elle regarda l’heure et me dit : — Pauline doit venir réviser chez moi dans dix minutes. Apparemment tu avais envie d’un petit truc à trois tout à l’heure. Ne bouge pas, je reviens avec mon amie. Quand elle revint, j’étais bien entendu toujours entravé sur le lit. Pauline pouffa en me voyant. Elle me salua en riant. Elle était plus petite et plus ronde que Camille. Sous son pull, on devinait deux gros seins lourds qui répondaient de façon un peu symétrique à son postérieur rebondi, recouvert par une petite jupe en laine. Ses yeux était cernés de noir et sa bouche peinte d’un rose à lèvres pailleté. — Ouh… mes enfants, ça sent la chatte ici— Et ça n’est que le début, lui répondit Camille.— On commence par quoi ?— Eh bien, comme tu préfères. Jean-Baptiste est très serviable et sa langue est très agile, je te conseille de l’essayer. Pauline venait d’envoyer valser ses chaussures et d’enlever son pull. Son soutien-gorge et sa culotte suivirent et quand elle monta sur le lit elle ne portait plus que ses mi-bas. Elle s’assit à ...
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