1. L'esprit d'escalier


    Datte: 02/07/2020, Catégories: fh, ff, ffh, fplusag, jeunes, voisins, profélève, nympho, grosseins, collection, fsoumise, fdomine, hdomine, contrainte, massage, entreseins, Oral fgode, pénétratio, double, fsodo, jeu, sm, attache, bourge, hff,

    ... califourchon sur moi, m’écrasa ses gros seins sur le visage en riant et me dit : — Bonjour, jeune homme, enchantée. Ouhhhh, mais qu’est-ce que je sens pointer contre ma chatte ? Ma queue venait de se dresser et frôlait les poils de son pubis. Elle se retourna et s’assit tout simplement sur mon visage en se trémoussant. — Allez, lèche, lèche ma petite chatte, qu’on voit ce que tu sais faire. Mmmmm, pas mal, ouhhHHHH, tu me chatouilles. Il me lèche le cul, confia-t-elle à Camille en pouffant.— Oui, il adore ça. Jean-Baptiste, n’oublie pas de lui fouiller le petit trou, Pauline adoooore qu’on lui lèche le cul, n’est-ce pas, Pauline ?— Mmmmm, oui, j’adore ça, c’est vrai. AhhhHHH, encoooore… il est doué le petit, dis-moi ?— Très, tu verrais comment il a baisé ma mère…— Il saute ta mère ?— Il lui fait faire des trucs pas croyables. Elle saisit alors l’appareil photo que j’avais pris à Hélène et le tendit à Pauline qui, toujours assise sur ma bouche, regardait les photos en grognant de plaisir.— Eh bien, Madame C., quelle délurée vous faites ! Moi qui croyais que vous étiez du genre à baiser dans le noir. Mais, c’est ton soutif, Camille ?— Eh oui, une fantaisie de Jean-Baptiste.— Il l’a tout tâché, quel cochon… Camille s’était assise sur moi et se passait ma queue dans la raie, nonchalamment. Pauline se leva de mon visage. — Comment ça va, là-dessous ?— Très bien, répondis-je, le bas de mon visage plein de mouille. Ma langue fatigue un peu, par contre.— Voyons voir ça. Et elle ...
    ... plongea la sienne dans ma bouche lentement, tournant autour. Je lui suçais les lèvres et mourrais d’envie de lui toucher ses gros seins laiteux. Camille de son côté les prenait dans ses mains, les pressait entre ses doigts, n’en laissant sortir que les tétons qu’elle présentait à ma bouche. Pauline me fouetta alors doucement le visage de ses seins, je trouvais ça délicieux. Soudain, elle se raidit. Je ne pouvais pas voir ce que Camille faisait mais je la sentais remuer depuis quelque temps. — Jean-Baptiste, je te présente Gérard, notre gode-ceinture. Je viens de l’introduire dans la chatte de Pauline. Ça te plaît, Paulinette ?— Mmmmmm, ce bon vieux Gérard, un peu que je l’aime, oh oui, ne bouge plus, tourne un peu à cet endroit… parfait, tu fais ça comme si tu en avais une entre les jambes depuis longtemps.— Disons plutôt que j’ai souvent différents modèles sous la main pour pratiquer. Dis, on détache Jean-Baptiste, alors ?— Mesdemoiselles, je vous en serais reconnaissant, je…— Pas encore, coupa Pauline, j’ai une idée d’abord. Tu te rappelles le film que j’avais piqué à ma tante ? Celui avec la brune aux gros seins.— Avec la double péné…— Celui-là.. ouuhOUUUIII, oh ma salope, qu’est-ce que c’est bon !!! Mets la queue de Jean-Baptiste à la place de Gérard et toi, encule-moi !— Tu es sûre que tu en as envie ?— J’ai l’air de ne pas en avoir envie, Camille ? dit-elle en se retournant. J’avais vraiment l’impression d’être devenu un jouet dont les deux jeunes filles abusaient, mais ...
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