Jacques, loin des hippies
Datte: 02/07/2020,
Catégories:
fh,
hplusag,
jeunes,
couple,
extracon,
alliance,
enceinte,
plage,
douche,
amour,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
fsodo,
confession,
initfh,
oncle,
... constatent rapidement qu’ils ont en commun une seule idée dans la tête : passer un délicieux moment ensemble. Ils sont en manque. Ils sont en manque de tendresse, de douceur, de sensualité, en manque d’une relation sexuelle libre et saine. Ils souhaitent échanger des émotions emplies de sensualité et de volupté. Sans prononcer un seul mot, comme cela s’est passé quelques années auparavant, ils s’embrassent tout en se déshabillant fiévreusement. Mathilde se fait chatte, douce et entreprenante. Elle s’empare du vit de Jacques sans aucune hésitation et commence à en lécher le gland tout en malaxant délicatement les bibelots. L’homme, voulant goûter au sexe de sa partenaire, lui retire le dernier rempart à sa nudité en faisant descendre sur ses jambes la culotte de dentelle. Ils se retrouvent nus dans le lit, comme par le passé, et font l’amour avec passion. La seule différence, c’est que cette fois-ci c’est Mathilde qui console Jacques. Après cette première visite, il passe de plus en plus de temps avec Mathilde, délaissant son domicile conjugal. Le plaisir de cette liaison est d’autant plus agréable que la veuve est devenue beaucoup moins réservée que par le passé ; elle ne refuse plus certaines positions qu’elle réprouvait. — J’ai appris, dit-elle à Jacques.— Qui t’a donné des cours ?— Oh, je suis une autodidacte. J’ai regardé des films pornos, j’ai beaucoup mis au rebut dans tout ce que j’ai vu, mais j’ai gardé certains petits jeux qui m’ont pas mal excitée. J’ai beaucoup ...
... lu également sur le plaisir masculin et le plaisir féminin. C’était la seule manière de pouvoir trouver des amants, sur lesquels j’ai expérimenté mes nouvelles connaissances théoriques. Alors je suce bien, à ce qu’on me dit, je me laisse prendre dans plusieurs positions qui parfois continuent à me faire rougir de confusion ; mais plus de honte et, le crois-tu, je me suis même fait sodomiser… enfin, pas n’importe comment et pas avec n’importe qui. J’ai ouvert la voie avec un godemiché, puis j’ai utilisé un jeune puceau à la vergette vigoureuse mais assez inoffensive.— C’est merveilleux : tu m’ouvres des horizons que je ne croyais pas possibles avec toi.— Pour la sodomie, tu en as tout de même une grosse ; mais qui sait : si tu t’y prends bien, je t’offrirai mon anus. Jamais Adeline ne lui reproche ses absences ; elle ne cherche même pas à savoir où il va et où il passe ses nuits et ses week-ends. Lorsque Mathilde et Jacques se retrouvent nus l’un devant l’autre, ils aiment observer leurs corps dans leur nudité originelle. C’est sans pudeur et sans gêne que leurs regards courent sur les pleins et les déliés de leur peau, s’arrêtant pour examiner avec attention toutes les richesses d’un sein, d’un ventre, d’une toison, d’une cambrure, d’une verge, d’une fesse, d’un orifice s’ouvrant vers des voies secrètes. Cette caresse des yeux se transforme souvent en un contact tactile. Parfois ces jeux durent de longues minutes. Ce n’est qu’après que la fusion des chairs et des sexes se ...