1. Jacques, loin des hippies


    Datte: 02/07/2020, Catégories: fh, hplusag, jeunes, couple, extracon, alliance, enceinte, plage, douche, amour, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral fsodo, confession, initfh, oncle,

    ... laisser aller ainsi à la débauche alors que mon mari, ton frère, est tout juste enterré.— Tu as raison. Tout comme ils jugeraient mon attitude totalement déplacée. Profiter de la détresse de ma belle-sœur pour coucher avec elle…— Jacques, j’avais besoin de sentir un corps chaud contre le mien. Oh, j’aimais ton frère, c’était un bon mari, un bon amant également, et puis pour nos enfants, un excellent père. Pour autant, je suis une femme et j’avais besoin de sentir un homme près de moi et en moi.— Oui, mais je suis ton beau-frère.— Justement, c’est pour cela que j’ai pu me laisser aller. À qui pouvais-je demander, sinon à toi ? Jacques éprouve plus de remords que Mathilde, bien qu’il ait appris parmi les hippies que le remords est une chimère, un murmure imbécile de l’âme. Il se rappelle les paroles entendues : « Il faut renouveler les actes qui semblent donner des remords, et ainsi ils s’étouffent d’eux-mêmes. Aux remords, il faut opposer la passion, et bientôt elle surpassera tout. Le remords ne prouve pas le crime : il dénote seulement une âme facile à subjuguer. Le remords est la vertu des faibles ; il ne doit pas nous atteindre. » Il se laisse donc porter par ce discours philosophique qu’il accepte sans broncher puisqu’il va dans son intérêt. Il ressent beaucoup de plaisir à cajoler Mathilde, même si elle fait l’amour de façon très classique, voire conventionnelle, sans originalité, à la bourgeoise. Ce qu’elle apprécie le plus, c’est lorsqu’il lui caresse les seins ...
    ... qui sont très sensibles ; il sait y mettre énormément de douceur tant avec les mains qu’avec la bouche, sans précipitation, sans brusquerie. Elle aime aussi sentir le sexe de son amant entrer en elle, tout en n’acceptant que deux positions, le missionnaire et la levrette. Quant aux caresses buccales, elle les reçoit, non sans quelque honte et gêne, mais est trop timide pour en donner de véritablement agréables. Jacques s’en contente, acceptant cette fragilité dans laquelle il trouve une douceur particulièrement voluptueuse. Il se dit« Je fais l’amour à un fétu de paille perdu sur l’océan, faisant tout pour qu’il garde la tête hors de l’eau. » Mathilde aussi aime faire l’amour avec son beau-frère. Malgré tout, ces rapports sexuels l’amènent à se poser beaucoup de questions. Elle ne les qualifie pas d’inappropriés mais plutôt de singuliers : — Si ton frère avait été là, est-ce que tu aurais tenté de me séduire ?— Certainement pas, même si je crois t’avoir toujours aimée, et ce depuis nos premiers flirts, lorsque nous nous embrassions. Je me rappellerai toujours le jour où tu as remonté ton tee-shirt sous lequel tu ne portais pas de soutien-gorge pour me montrer tes jolis petits seins et me permettre de les caresser. Si mon frère était encore là, je me dirais qu’il a beaucoup de chance d’avoir une si belle épouse, mais je n’en serais pas jaloux. Et si mon frère était toujours de ce monde, je ne serais pas ici à tenter de consoler sa veuve.— Que dirait-il s’il nous voyait ? Que ...
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