Jacques, loin des hippies - Histoires de Sexe

Jacques, loin des hippies

... choses à m’apprendre. Nous resterons, elle et moi, chacune dans notre domaine ; je ne te demanderais jamais rien lorsqu’elle sera là. Ils refont l’amour dès que cela leur est possible. Ce sont les nuits où Mathilde travaille et où le frère de Myriam est absent, ce qui est fréquent puisqu’il va de plus en plus souvent dormir chez sa copine. Jacques se laisse mener par le bout du nez pas cette petite femme, même s’il a beaucoup de scrupules.« Il ne faut pas ; je dois arrêter. La prochaine fois, je la repousserai. » Car à présent, c’est elle qui attire son oncle. Elle sort de la salle de bain dans le plus simple appareil et vient se blottir sous les draps. Elle colle son corps chaud et vif contre celui de cet homme, son initiateur. Alors il est incapable de mettre en application sa volonté et cède aux caprices de la fille de sa maîtresse qu’il ne considère plus comme sa nièce, puisqu’elle ne l’est pas. Bien que paraissant sans connaissance des jeux de l’amour, elle se montre rapidement comme une amante exceptionnelle. Elle accepte toutes les caresses de Jacques qui se font de plus en plus pressantes ; elle lui donne ses seins avec bonheur, ouvre largement ses jambes pour lui présenter sa vulve juteuse et offre son popotin aux baisers, effleurements et claques plus sonnantes que douloureuses. Elle s’habitue à lui faire des fellations dignes des plus expérimentées suceuses. Après quelques hésitations, elle accepte de goûter au sperme, puis avale sans rechigner des éjaculations ...

... buccales. Encore une fois, Jacques s’étonne des talents insoupçonnés de Myriam qu’il prenait pour une oie blanche : — Comment se fait-il que tu aies de si grandes connaissances dans le sexe des hommes alors que tu me dis n’avoir jamais fait l’amour ?— Tu sais, tonton, avec ma copine nous n’avons pas que brisé notre hymen. Nous avons pris le godemiché de sa mère pour nous habituer à bien sucer les mecs. Nous nous sommes appuyées sur les images de quelques films de cul enregistrés sur Canal par ses parents et sur des articles trouvés dans la revue Union dont ils ont toute la collection. Après, nous sommes passées des cours théoriques à la pratique avec le frère de ma copine et le copain avec qui il baisait ; il est bisexuel. Ils nous ont gentiment servi de cobayes et nous avons pu parfaire notre éducation en la matière. On a pu utiliser ces deux queues pour nous exercer ; moi les deux, et ma copine uniquement celle du mec de son frangin car elle ne voulait pas sucer son frère. C’est normal ; moi non plus je ne pourrais pas sucer mon frère.— Eh bien, dit Jacques, estomaqué, tu es loin de la sainte-nitouche que j’imaginais. Tu n’es pas une novice en matière de sexe, finalement.— Mais je te jure que si on a sucé des queues, les mecs ne nous ont pas touchées et encore moins sautées. On est même resté habillées pour s’occuper de leurs zobs. Et avec ma copine et les deux pédés… Mais tu me promets de ne rien dire à maman, sinon elle va faire un caca nerveux.— Je ne lui dirai rien de ce ...