1. Jacques, loin des hippies


    Datte: 02/07/2020, Catégories: fh, hplusag, jeunes, couple, extracon, alliance, enceinte, plage, douche, amour, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral fsodo, confession, initfh, oncle,

    ... dirait-il s’il me voyait nue et impudique faisant l’amour avec son frère ?— Il n’est plus là, et je souhaite que tu puisses vivre avec cette réalité.— Il est toujours là dans mon cœur, et tous les baisers que tu me donnes sont comme autant de coups de poignard.— Mathilde, dans ce cas je me retire, je ne veux pas te faire souffrir.— Non, non, Jacques, excuse-moi, je suis injuste ; je suis heureuse que tu sois là. Oh, prends-moi, j’ai envie de sentir ton sexe au plus profond de moi, c’est la seule façon que j’ai de survivre. Un peu plus tard elle revient sur l’épisode que Jacques a évoqué, lorsqu’il a pour la première fois pu lui caresser les seins sans la barrière d’aucun tissu : — Te rappelles-tu pourquoi je n’ai pas mis de soutien-gorge ce jour-là et que je t’ai laissé me tripoter les lolos ?— Non, je n’en ai pas souvenir.— Tu m’avais dit que tu avais pu reluquer les nichons de ma mère et que tu les avais trouvés magnifiques. Cela m’avait rendue jalouse.— C’est vrai que ta mère avait une paire de nibards impressionnante !— Pauvre maman, aujourd’hui elle a les roberts qui lui tombent lamentablement sur le ventre. Côté libido, ça ne t’exciterait pas des masses… ********** Lorsque la mère de Jacques lui dit qu’il doit se marier pour faire des enfants, l’idée d’épouser Mathilde lui traverse l’esprit. Mais c’est exclu, car à cette époque le mariage entre un beau-frère et une belle-sœur est interdit pas la loi. Ce n’est qu’en 1975 que la loi autorisera une telle union. Il est ...
    ... bien obligé de couper court aux rapports charnels avec la belle et jeune veuve. — Mère, vous voulez que je me marie ; cette idée n’est pas pour me ravir, mais je l’accepte. Cependant, je tiens à choisir moi-même mon épouse.— Choisissez bien, mon fils, car il n’y aura pas de mariage sans mon aval. N’allez pas me dégoter une de ses traînées de hippies chez lesquels vous vous êtes fourvoyé.— Ne portez pas de jugement sur des personnes dont vous ne savez rien.— Vous ne me ferez pas entendre raison. Ce sont toutes des catins ! Et aucune n’entrera dans notre famille. Jacques remarque une jolie blonde qui fait un stage dans l’entreprise qu’il dirige. Adeline a tout juste 20 ans, un visage doux et frais avec deux grands yeux bleus. Elle n’est pas très grande mais bien proportionnée, son corps ayant toutes les formes souhaitables. Elle a une taille fine surmontée d’une poitrine à la rondeur exquise, son fessier est légèrement rebondi, ses jambes et ses bras fins et déliés. Elle n’est pas insensible aux avances discrètes de son patron. Elle remarque que son regard se porte sur elle et sur ses formes. Ainsi, lorsqu’il est debout à côté d’elle, son regard se porte inévitablement vers son décolleté pour y découvrir des dentelles dans lesquelles sont lovés ses seins qu’il souhaiterait pouvoir admirer, tout comme ceux que Mathilde avait dévoilés sous ses yeux. De même, lorsqu’elle se baisse pour prendre un dossier placé sur une étagère basse, Jacques s’extasie sur le haut de la dentelle ...
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