1. Rousse Nymphe


    Datte: 05/10/2017, Catégories: h, frousses, Collègues / Travail volupté, Masturbation

    Cécile est une petite jeune femme, rousse et fluette, que j’avais recrutée il y a quelques années de cela. De petites taches de rousseur sur son joli minois, des cheveux mi-longs retenus en queue de cheval, une taille fine, des jambes de gazelle, des doigts fins, une bouche légèrement pulpeuse, des yeux verts, une voix de petite fille, telle était Cécile, jeune femme de 25 ans et déjà maman. Nous avons travaillé ensemble durant trois longues années, avant qu’elle ne quitte mon service pour un poste de Direction. Notre collaboration fut toujours très chaleureuse. D’ailleurs, nous nous revoyons encore, lors de séminaires à travers la France. Ce petit bout de femme, vous l’aurez remarqué, ne me laissa nullement indifférent. Je prenais un réel plaisir, quotidiennement, à travailler avec une secrétaire comme Cécile. Je l’observais souvent lorsqu’elle frappait du courrier sur son PC. Ses doigts virevoltaient sur le clavier, sa bouche souriait ou boudait suivant son humeur, elle croisait ou décroisait ses jambes. Cécile s’habillait généralement avec des tenues moulantes qui mettaient en valeur son corps de nymphette. Sa chevelure rousse s’accordait parfaitement avec tous les tons de ses vêtements. Il y eut entre nous une complicité, une qualité d’échanges, un respect d’autrui, une chaleur, une gentillesse, que jamais je n’ai retrouvé chez aucune autre assistante. Souvent, nous déjeunions ensemble, à midi. Nous devisions sur l’équipe et sur l’organisation du travail. Elle me ...
    ... confiait ses doutes, ses questions, et nous échangions ainsi pendant deux bonnes heures. De fil en aiguille, chacun lâchait par-ci par-là une pensée intime, mais jamais à connotation sexuelle - encore moins érotique. En somme, nous étions comme de vieux amis dans une tendre complicité. Cependant, lors de ces déjeuners, nous nous regardions souvent les yeux dans les yeux en discutant, en nous souriant. Je regardais Cécile avec une telle tendresse qu’elle pouvait s’apparenter à du désir ou à de l’amour. Elle aussi me pénétrait avec ses yeux verts étincelants. Nous nous sommes souvent livrés à des confidences sur le lien qui nous unissait. J’ai également décrypté les oeillades que me lançaient Cécile comme des appels du pied, mais jamais elle n’enclencha une ébauche de drague à mon égard. Peut-être aurais-je dû franchir le cap ? Je n’en sais rien. Toujours est-il que notre relation platonique fut très forte. — Je t’aime tel que tu es, continue à conserver ton humanité. Voilà ce qu’elle ne cessait de me dire lors de ces intimes moments. — Je t’aime aussi Cécile, tu es ma secrétaire préférée, je souhaite que tu sois heureuse, lui répétais-je à mon tour. Avec du recul, cela semble bien fleur bleue, me direz-vous. Vous avez certainement raison sur la forme, mais mon âme sait, elle, ce que je ressens encore maintenant pour Cécile. A chacune de nos retrouvailles, le même élan de tendresse, de désir, d’amour, nous envahit. La communion de nos esprits se réalise instantanément. Cela correspond ...
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