1. Rousse Nymphe


    Datte: 05/10/2017, Catégories: h, frousses, Collègues / Travail volupté, Masturbation

    ... à des orgasmes psychiques, je pense. Comme nous travaillions ensemble, Cécile se rendit compte, au fil du temps, qu’elle ne me laissait pas indifférent, de par son charme et son comportement professionnel. N’allez pas croire que je favorisais les belles jeunes femmes! Non, je me suis toujours refusé à me laisser aller à ce genre de sentiment! Certes, il est toujours plus agréable de réaliser des tâches ardues en compagnie de nymphettes, surtout si leur physique engendre l’imagination, chose qui se produisait avec Cécile. Un jour, excédé par un bug ou une panne dans un programme informatique, je me ruai hors de mon bureau et demandai prestement à mon assistante de venir m’aider. J’avais une mine renfrognée, j’étais de mauvaise humeur. Cécile me rejoignit dans mon bureau, en me présentant son plus beau sourire. Ses yeux verts gentiment moqueurs me calmèrent un peu. Je lui expliquai ce qui n’allait pas et, d’autorité, ma nymphette prit un fauteuil et s’installa à côté de moi. Céline portait une mini-jupe noire, des bas couleur chair, un pull over noir en cachemire. Elle était assise très près de moi, sa cuisse droite frôlait la mienne. Elle se pencha pour attraper la souris du PC et ses soyeux cheveux roux caressèrent mon visage. Je respirai son parfum de violette. Je me décalai de quelques centimètres. Cécile me dévisagea et me lança de sa voix de fillette : — Je ne vais pas te croquer, tu sais! Elle continua à pianoter sur le clavier. J’admirai ses fins doigts danser sur ...
    ... les touches en réprimant une érection inopportune. J’avais envie de l’embrasser, de la caresser, mais je chassai ces idées de mon esprit. Je laissais Cécile faire pendant tout le temps que prirent ses manipulations. Ensuite, elle m’expliqua posément comment pallier à tout nouveau souci, si, d’aventure, ce bug se reproduisait. Je buvais ses paroles une à une, en priant le ciel pour qu’elle ne baisse pas les yeux vers mon entrejambe. Ensuite elle se leva et me dit, au creux de l’oreille : — Tu sais, l’ordi, c’est comme une femme, il faut être patient. Elle sourit et retourna à son poste. J’ai mis plusieurs instants à atterrir, à décrypter son message. Je me dis que je me faisais des idées, mais mes pensées allaient sans cesse vers ma secrétaire rousse et quelque peu coquine. Le soir venu, elle s’enquit de ma personne, pour savoir si je me portais bien et, d’un sourire à damner un saint, elle me souhaita une bonne soirée. Je l’ai regardée partir en admirant ses fesses d’adolescente que moulaient à merveille sa jupe. Elle se retourna vers moi en attrapant son manteau et réitéra son sourire, suivi d’un : — Je t’embrasse, mon boss préféré! Je me retrouvai seul, dans ce bureau immense, vide de tous mes collaborateurs. Après quelques minutes d’intense réflexion, je m’aperçus que Cécile avait oublié son écharpe noire. Je m’en saisis, la portai à mon visage, et j’en respirai l’odeur. J’étais sublimé par ce morceau de laine, excité également, car le parfum qui s’en dégageait me rappela ...