1. Épisode I : La première coloc


    Datte: 05/07/2020, Catégories: fh, frousses, volupté, noculotte, strip, Masturbation Oral fdanus, fsodo,

    ... contrôlais tant bien que mal au coeur même de mon sexe (mon second cerveau comme elle disait elle-même). Vers la fin elle semble me regarder différemment et m’annonça qu’elle allait faire la vaisselle alors que je m’ouvrais à elle comme elle s’était ouverte à moi. J’acceptai de bon coeur. J’avais eu deux copines et quatre ou cinq aventures d’un soir… Je me flattais quelque peu de mon tableau de chasse, lui montrant les photos des jolies filles que j’avais savamment fait jouir. Elle sourit, pointant d’un doigt savonneux celles qu’elle trouvait belles. Je lui dis que j’étais en panne sèche depuis bientôt six mois et que j’adonnais aux plaisirs solitaires beaucoup trop souvent pour moi. J’étais désireux de chair fraîche. Elle rit. — Tu sais, j’suis contente de notre franchise. Je crois vraiment qu’on va vivre ici quelque chose de vraiment cool, m’avait-elle dit, après la vaisselle.— Moi aussi. Je suis réellement surpris de la complicité qui se forme, avouai-je. Elle me fit un sourire charmeur et me dit que la soirée se terminerait sur un film. J’acceptai avec joie. Après le film, elle m’annonça qu’elle allait devoir me priver de sa présence, elle avait une interview tôt le lendemain pour un travail de réceptionniste « payant mais atrocement nul » ajouta-t-elle. Elle se leva, et, d’une démarche féline à souhait, m’offrit la vue de ces formidables fesses qu’elle dandina. Elle me jeta un coup d’oeil en passant le coin, s’assurant que j’avais bien fixé ce qu’elle voulait que je ...
    ... fixe et que j’étais la bouche pantelante comme elle le voulait. Une érection incontrôlable me prit et, plié en deux pour ne pas trop me faire voir, je décidai de rejoindre ma chambre. La sienne était éclairée et la porte (volontairement je parierais) était entrouverte. Je dépassai sa chambre, mais l’impulsion fut trop forte, je dus aller me rincer l’oeil. Je revins en catimini, louangeant le ciel pour ne pas qu’elle m’entende. J’arrivai à la porte et jetai un coup d’oeil. Son lit était à gauche, dans le coin, sous la fenêtre. Des vêtements y étaient posés. Elle devait décider ce soir de ce qu’elle mettrait demain, pour l’entrevue. Puis, elle revint dans mon champ de vision. Elle était toujours habillée. Un pantalon moulant, noir et un t-shirt moulant bleu nuit. Elle passa ses mains agiles le long de son flanc et se tournant devant ce qui devait être un miroir, se mit de dos pour voir la courbure de ses fesses. Sandra caressa son cul doucement, les yeux un peu dans le vague. Alanguie, elle se retourna face au miroir et enleva son t-shirt, m’offrant la vue de son dos sublime et nue. Aucun soutien-gorge. Quelle fermeté ! Je vis la courbure du sein devant, le mamelon pointé. Elle y passa la main délicatement, se frottant avec attention. Elle passa sur son ventre et passa la main sur le tissu de son pantalon. Mais elle décida de s’en débarrasser. Elle fit glisser le tissu sur sa peau satinée pendant ce que je crus une heure, d’une façon terriblement sensuelle, ce qui donna le coup de ...
«1...345...8»