1. Épisode I : La première coloc


    Datte: 05/07/2020, Catégories: fh, frousses, volupté, noculotte, strip, Masturbation Oral fdanus, fsodo,

    ... grâce à mon érection qui prit beaucoup trop de place dans mon slip. Elle fit ce petit pas particulier, ce petit mouvement pour passer les pieds hors du vêtement qui me fait mourir. Un pied d’abord, doucement, puis le second et d’une flexion, le pantalon qui va valdinguer dans un coin. Ne lui restait que ce tout petit string noir, qui disparaissait de ma vue entre ses fesses. Avec un mouvement de tête, elle décida de s’en défaire aussi. Je fondis. D’un déhanchement enchanteur, elle fit tomber le string, du même petit pas le balança dans un coin et se regarda à nouveau, laissant ses doigts couler le long de son corps. Devant elle, les tiroirs ouverts, une commode semblait toute propice à s’appuyer. Elle y posa une main et, cambrant les reins et écartant les cuisses, elle mit plus de vigueur dans son petit plaisir. Depuis trois minutes, elle gardait le même rythme, bougeant ses hanches et ses jambes, quelquefois elle prenait son sein, gémissant doucement. À la fin, dans le plus fort de ses attouchements, je l’entendis souffler mon nom. Là j’étais complètement atterré et perclus de douleur, mon sexe prenant des dimensions carrément inattendues. Si ce n’était pas de moi qu’elle parlait, il me plu de le croire. Sandra ne s’arrêta pas là et je l’entendis prendre son pied en couinant doucement, la tête renversée, les fesses offertes à un tel point que j’eus l’envie d’y mordre. Mais, elle était rassérénée. Elle reprit lentement conscience et, s’observant, je vis ses lèvres s’ourler en ...
    ... un sourire béat de contentement. Je devais partir, je sentais la découverte proche et je ne voulais prendre aucun risque, advenant qu’elle ne m’aie pas purement provoqué. Sans perdre une once de dureté, je me dirigeai vers ma chambre, encore plié en deux, mais de douleur. Je devais me soulager, sinon, quelqu’un allait mourir. Dans ma chambre, je me déshabillai et me coucher dans mon lit. J’hésitai pour me soulager. J’aurais aimé tout garder pour elle. Je sentais que cette première fois n’allait pas tarder. J’étais tellement troublé que je tombai dans un sommeil profond et salvateur, trois heures avant mon habitude, bandé comme un taureau. Le lendemain, mon érection matinale me faisait mal, mais avait repris une taille normale. Je fus un peu désappointé, mais au moins, je pourrais réussir à la cacher dans un jeans. J’entendis du bruit dans la cuisine et regardai l’heure. Je me félicitai d’être réveillé si tôt, ce qui voulait dire que ma belle rousse était toujours là. Je réfléchis quelques instants dans la chaleur de mon lit, à comment l’approcher sans avoir d’un lourdaud, sans perdre l’effet que j’avais eu d’abord sur elle. Je n’arrivai à aucune conclusion, mais je savais devoir apparaître confiant et me dévoilant suffisamment. Heureusement, je ne suis guère timide et sans compter que je suis moi-même fier de mon corps, je me balade plus souvent qu’autrement torse nu. Je n’enfilai que mon jeans. Elle m’avait complimentée sur ma musculature, j’allais la lui exhiber. Je sortis ...
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