Épisode I : La première coloc
Datte: 05/07/2020,
Catégories:
fh,
frousses,
volupté,
noculotte,
strip,
Masturbation
Oral
fdanus,
fsodo,
... de ma chambre après avoir pris mes courriels, comme d’habitude, je ne devais pas me précipiter sur elle non plus tout de même. Elle avait disparu. Je ne perdis pas contenance et ouvrit le frigo. Rien d’intéressant ou d’appétissant (Je m’étais réveillé avec une faim ravageuse). J’ouvre le garde-manger, y prend pain et beurre d’arachide et me fait des tartines. Je passe à la salle à manger. Je l’entends qui revient. Je lui tournais dos, je regarde dehors, par la porte patio, essayant de me donner une contenance que j’estime risible. — Dis-moi comme tu me trouves ! me lança-t-elle, en posant sa main douce sur mon épaule. Je me retournai. Un spectacle pour les yeux et pour le sexe. Je rebandai d’office. Elle avait revêtu une très moulante et courte robe verte. Les fines bretelles laissaient presque à nu ses épaules (et on supposait une absence de soutien-gorge). Elle enlaçait son corps parfaitement. La robe lui allait à mi-cuisse et elle avait mis de fins bas noirs. À ma hauteur, je voyais bien qu’il s’agissait de bas autocollants, il n’y avait aucune marque de jarretelle. Elle était divine ainsi, et elle le savait, elle tourna sur elle-même. Je ne sais si elle le fit exprès, mais l’un de ses bas était plié au rebord. — Attends, il y a un faux pli là. J’avançai une main qui se devait tendre et assurée, sans tremblements puérils. Main se posa sur sa cuisse, près du bord du bas. Elle expira fortement. Ce fut le déclic qu’elle savait ce qu’elle faisait. Mais je ne voulais rien ...
... gâcher de ce moment. Lentement, je retroussai la robe un peu et m’appliquai à replacer le bas. Sa peau était très douce et j’y passais sans relâche les doigts. Maintenant, j’avais tout mon temps. Je posai mes mains sur chaque cuisse et les caressai doucement, et j’osai diriger mon regard vers son visage. Elle avait les yeux fermés, la bouche entrouverte. Je massai plus fortement ses cuisses, sa poitrine eut un soubresaut et elle sourit à peine. Mes mains remontèrent, attirant avec elle le bas de la robe. Je redécouvrais, mais de près, le début de ses fesses. Les mains toujours sur ses cuisses, j’approchai ma bouche et mordit son cul par-dessus le vêtement. Elle expira à nouveau, bougeant un peu les cuisses, pour les écarter. C’est là que mes doigts sentirent un liquide chaud sur sa cuisse. J’avais les doigts tout près du sexe et elle mouillait comme une fontaine. Mes mains remontèrent à nouveau, elles retroussèrent la jupe par-dessus les fesses et me les découvrit dans toute leur splendeur. À nouveau nue, elle n’avait pas mis de culotte ce matin là. Cette fois, mes mains se séparèrent. La droite se détourna et, passant sur les hanches, vint flatter son entrecuisse et fit pression. Sandra écarta encore quelque peu. Ma main droite caressa son sexe, que je sentis épilé de près. Cette main, je la contrôlais mal dirait-on, parce qu’elle vint glisser sur les lèvres moites et sans grande précaution, un doigt entra dans son sexe humide et chaud. Elle gémit longuement. Je le fis tourner à ...