Une fenêtre sur la ville
Datte: 05/10/2017,
Catégories:
Masturbation
Première fois
Voyeur / Exhib / Nudisme
La Rochelle est une bien belle ville. On y vit agréablement, le temps y est clément avec beaucoup d’ensoleillement, les filles y sont jolies, et le quartier des Minimes, où je vivais, en est littéralement plein. Forcément, c’est le le quartier de l’université, on baigne dans le cocktail troquets/jolies nanas…. mais moi, je n’en profitais pas. Trop timide. Oh les choses ont changé depuis lors. Les hormones me poussent parfois dans des directions inattendues. C’est parfois le cas aujourd’hui, c’était déjà le cas lorsque je faisais mes études Comme tous les jeunes garçons, j’ai découvert le désir des femmes en les regardant. A l’époque, pas d’internet. C’était encore le temps des Playboy, Lui, et du porno de Canal + le premier samedi du mois. Et la timidité a fait que je n’ai pas été capable d’assouvir mes désirs avant d’être largement adulte. Tout ça pour dire que mes regards sur les filles ont d’abord été de la curiosité, puis du désir, puis… un peu de l’obsession sexuelle. Il était très courant que je ressente les effets du désir en regardant une jolie fille au collège d’abord, comme tout le monde, mais aussi au lycée, puis à la fac : gorge qui se serre, bouche sèche, chaleur intense, et évidemment, émois dans le pantalon. Alors forcément, mes masturbations étaient nombreuses. Plusieurs fois par jour. Et longues. Le plus souvent, allongé sur mon lit. Mais j’ai passé un cap au-delà du simple voyeurisme masculin basique qui conduit à se tirer sur la nouille en regardant des ...
... photos ou des films. Je vivais dans un studio au deuxième étage d’un bâtiment assez imposant, en plein dans un quartier étudiant. Inutile de dire que même si ce n’était pas du tout une résidence étudiante, cette population grouillait dans cet immeuble, et dans les alentours. Je voyais très bien les résidents du quartier sortir ou rentrer chez eux, et du deuxième étage, je distinguais très bien les gens, leur visage, leurs tenues Je voyais des passants à longueur de journée dans la rue. Enfin, si je regardais. Or, je regardais beaucoup. Et ça m’excitait beaucoup. Il m’est arrivé souvent de ressentir une montée du désir en regardant passer une jolie fille, surtout en me disant que je pouvais la détailler et qu’elle ne me voyait pas. Je sentais monter le désir et mon érection avec. Au point de ressentir l’envie de me masturber en les regardant, et je ne résistais pas, caché dans un angle de ma fenêtre, pour voir sans risquer d’être vu. Là où ça prenait une tournure spéciale, c’est lorsque je reconnaissais la fille que je voyais passer : voisine, camarade d’amphi, ou juste quelqu’un qui habitait dans le quartier. Ça devenait assez délicieux. Parfois je retardais le moment de mon éjaculation, parce que je savais que j’allais voir quelqu’un en particulier, en fonction des emplois du temps de chacun. Cela accroissait encore mon plaisir. Une camarade d’amphi, Caroline, sur qui j’avais eu des vues (c’est le cas de le dire…), vivait non loin de mon studio, à 300 mètres environ. Elle ...