Une fenêtre sur la ville
Datte: 05/10/2017,
Catégories:
Masturbation
Première fois
Voyeur / Exhib / Nudisme
... passait devant chez moi pour aller à la fac. Une assez jolie fille de 21 ou 22 ans (trois an de plus que moi), environ 1m70, blonde foncé, les yeux clairs, des épaules musclées de nageuse régulière, jolies jambes assez longue et musclées, et une poitrine qui me faisait baver. A vue de nez (lequel, hélas, n’a pas eu la chance de les voir d’assez près…), je dirais qu’elle devait tourner autour de 90D. Pour quelqu’un qui était en manque, et aime les belles poitrines, elle représentait une cible de fantasmes de premier choix. Et outre sa plastique, elle m’avait donné de bonnes raisons de fantasmer. Elle n’était pas célibataire. Elle sortait avec un mec plus âgé d’une quinzaine d’années, et tout n’était pas tout rose. Je ne me rappelle plus des détails, mais elle oscillait entre le bonheur le plus complet, et l’envie de le plaquer, avec les yeux embués de larmes. Elle était amoureuse, ça se voyait, mais ça ne se passait pas comme elle l’espérait… Un jour qu’elle était passée discuter chez moi, on s’était retrouvés assis face à face sur deux petites chauffeuses, dans un passage si confinés qu’il y avait juste de quoi passer un pied entre les deux. Autant dire qu’il fallait vouloir s’installer à deux ici. Le plus souvent, je me vautrais sur l’une des chauffeuses, en posant mes jambes pliées sur celle qui lui faisait face, pour regarder la télé posée sur un meuble contre lequel était adossé la seconde chauffeuse. Caroline et moi étions donc très proche, dans le même mètre carré. Elle ...
... était dans une phase “j’en ai marre, je vais le plaquer”. De fil en aiguille, nos conversations se faisaient plus ouvertes, plus directe, plus...coquine. Peut-être que la première approche que j’ai eu avec elle n’y était pas étrangère. On avait abordé une problématique liée au mariage en cours, et elle en parlait avec mon voisin d’amphi. Elle affirma qu’elle n’était pas prête du tout à se marier. “Tu as raison, autant passer directement à la nuit de noce sans les formalités.” lui avais-je dit. Comme première phrase, c’est un peu osé, mais mon but c’était surtout de la faire marrer. Et nos conversations ultérieures sont restées sur ce ton qui mélangeait humour et grivoiserie, ce qui m’arrangeait bien en raison de ma timidité maladive. Cela durait depuis quelques mois, et j’avais appris qu’elle avait une sexualité fort épanouie, sans être débridée pour autant, mais elle s’amusait quand même bien au lit. En revanche ce fameux soir là, face à moi, je ne m’attendais pas à ce qu’elle soit si directe. - “Est-ce que ça te dirait de coucher avec moi ? Juste de s’envoyer en l’air, se faire du bien, sans sentiments ?”Je dois dire que mes yeux se sont écarquillés sous la surprise. Je n’avais pas l’habitude qu’on me fasse une proposition si franche. Je me sentais démuni, et gêné. - “Heu, bah, à ton avis ?”Oui.J’ai répondu ça.Comme réponse conne, je crois avoir été en lice pour la médaille d’or toutes catégories confondues. - “Je ne sais pas, je te demande !”Elle avait manifestement envie ...