Balade pas trop loin de Lille et retour
Datte: 05/07/2020,
Catégories:
fhh,
couplus,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
Oral
... sers, même si je ne déteste pas être servie ! Son autre main caresse mon ventre, puis descend petit à petit vers mon pubis. Je me dis que c’est bien parti ! En effet, peu après, des doigts investissent ma fente humide, cherchant visiblement mon petit bouton rose niché entre mes fines lèvres… Sous l’effet de cette triple caresse, cette main sur mon sein, cette bouche suçant mon téton érigé et cette autre main s’égarant dans mon intimité, je commence à gémir doucement, mon corps ondulant sous les multiples vibrations de plaisir… Aujourd’hui est une belle journée pleine de plaisirs et de jouissances ! Je ne m’en plaindrai certainement pas ! Peut-être même que Valentin viendra plonger en moi, me remplir, m’occuper, me prendre toute entière… Le plaisir arrive à nouveau, je suis étonnée qu’il soit déjà là, mais je le laisse venir. Comme une douce vague chaude, il m’envahit, un autre effet que le cyclone dévastateur des bois ; un autre effet mais agréable… Sucré, comme une boisson tropicale que je bois par petites gorgées suaves… Une étrange vibration monte en moi, une vibration insolite, douce et cruelle en même temps. Je n’ai pas le temps de me poser des questions que mon corps explose en mille morceaux, mon cerveau noyé sous un plaisir tourbillonnant… Hélas, c’est déjà l’heure… Je m’installe sur la banquette arrière et j’enlace Valentin installé sur le siège passager. La voiture roule vers Lille, fenêtres ouvertes, il fait tellement chaud ! Nos mains sont entremêlées, tandis que ...
... je glisse mes doigts libres sous la chemise de mon dijonnais. Lui, pour ne pas être en reste, pose la sienne sur mon genou. Les kilomètres défilent, et moi, je voudrais que ça n’en finisse jamais. Hélas, Valentin a un train à prendre, et Lille se rapproche. J’aimerais bien le garder pour moi, mais je ne peux pas. Il reviendra dans quelques semaines, mais c’est lointain… Déjà les quinze jours entre sa dernière visite et celle de maintenant, j’ai trouvé ça très long, alors un mois, c’est pire ! Lille se dévoile sous nos yeux, Pascal fonce vers la gare TGV. La voici devant nous. Il s’exclame : — Houlà, il y a plein de monde, toutes les places sont prises !— Ah oui, c’est plein de chez plein !— Bon, la meilleure solution est que je vous dépose tous les deux devant la gare, tandis que je cherche une place.— Ok, ça me va, Pascal.— Moi, aussi, Zamour. Je soupçonne mon mari de proposer cet arrangement afin que je sois seule avec Valentin. Ça me convient parfaitement. Alors, main dans la main, nous entrons dans la gare. C’est étrange de se balader ainsi avec Valentin, comme s’il était mon officiel. Nous arrivons face au tableau des départs : — Il est à l’heure… Dommage ! dit-il.— Oui, dommage…— Il suffit de condenser les choses, et de jouer le jeu jusqu’au bout…— Tu veux dire quoi par-là ? Pour toute réponse, il m’attire à lui et m’embrasse. J’adore quand il prend des initiatives, surtout celles de ce genre-là ! La voix un peu troublée, quand nos lèvres se séparent, je dis : — Dommage ...