Balade pas trop loin de Lille et retour
Datte: 05/07/2020,
Catégories:
fhh,
couplus,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
Oral
... que ce soit seulement maintenant…— Il y aura d’autres fois.— J’ai déjà entendu ça la dernière fois… Il ne répond rien, il m’embrasse à nouveau, nos corps collés l’un à l’autre, nos langues se caressant, nos lèvres soudées, nos bras nous enlaçant l’un l’autre, deux ne faisant plus qu’un. Puis nos lèvres se séparent, je pose ma tête sur son épaule et j’écoute les battements de son cœur se mélanger aux miens… — Tu dois vraiment repartir ?— J’habite là-bas, je travaille là-bas…— Quelle idée d’habiter si loin de moi !— Je peux en dire autant à ton sujet… Je l’embrasse à nouveau, le serrant très fort contre moi. Puis nos lèvres se détachent, je le regarde dans les yeux : — Tu peux m’expliquer une petite chose, mon Lapin ?— Ce que tu veux, ma Puce !— Je ne vais pas tourner autour du pot : tu as fait cinq cents kilomètres pour venir me voir, je m’offre à toi… et… pas grand-chose…— Pas grand-chose ? Il me semble bien que nous ayons joui tous les deux.— C’est vrai, mais j’ai dû souvent te forcer un peu la main… Il soupire, me serrant contre lui : — Tu sais que je t’adore… mais je ne voudrais pas foutre en l’air notre relation avec du sexe…— Attends, attends, je suis consentante, et toi aussi, tu reconnais que je te plais. Où est le problème ?— De tomber amoureux… peut-être ? Je me contente de sourire avant de répondre : — Tu n’as rien à craindre, je ne débarquerai pas chez toi avec mes valises ! Ce n’est pas mon style, et je te signale que c’est avec Pascal que je vis.— Mais ...
... pourtant, tu…— Oui, j’aime ta compagnie, j’aime nos discutions, j’aime le sexe avec toi, mais je ne pense pas être amoureuse de toi. Au risque de paraître cruelle, tu es mon défi à moi, mon grain de folie. Valentin tire un peu la tronche. Autant lui dire clairement les choses. Il reprend : — Drôle de façon de le dire, ma Puce…— Pourquoi crois-tu que Pascal me laisse faire ? Parce qu’il sait qu’il n’a rien à craindre. Si jamais il avait senti que j’avais une trop grosse inclinaison pour toi, il aurait mis aussitôt son veto.— Bref, je suis ton « jouet »…— Tu es mon ami-amant, tu n’es pas mon mari. Amant, c’est un peu vite dit puisque nous n’avons pas vraiment consommé.— Ce n’est pas mieux ainsi ?— Le cul entre deux chaises, je n’aime pas trop. Tu m’as excitée à fond, toi, tu bandais à mort, on aurait pu…— Oui, on aurait pu… mais je n’étais pas trop à l’aise…— À cause de Pascal ?— Pas vraiment, je ne sais comment le dire…— Alors tais-toi et embrasse-moi ! Chose qu’il fait d’ailleurs très bien ! Quelques minutes, Pascal est de retour, il a eu du mal pour trouver une place, ce qu’il dit. Peut-être nous a-t-il laissé un peu de temps, à Valentin et à moi… Le TGV est annoncé, nous descendons sur le quai. Nous cherchons après sa voiture que nous trouvons une fois de plus en tête de train. — Bon… il faut que j’y aille…— Oui, il faut que tu y ailles… Valentin serre la main à Pascal : — Merci pour ce très bon week-end et pour les restaus. À charge de revanche !— Ne t’en fais pas pour ça. Je te ...