1. Terrain de chasse


    Datte: 06/07/2020, Catégories: h, hépilé, piscine, gymnastiqu, Collègues / Travail Voyeur / Exhib / Nudisme photofilm, Masturbation

    ... clubs échangistes. Glauque. Les saunas. À vomir. Les camps de nudistes. Frustrant. Personne n’irait mater un type à poil, seul. Enfin si. Il a horreur des tantes. C’est viscéral. Les vrais pervers, ce sont eux. Terrain de chasse. Internet. Mais non. Il veut savoir. Il veut voir leurs sourires, leurs grimaces. Leurs rougeurs. C’est ça qui le fait bander, le fait jouir. La webcam, c’est un œil sans cerveau. Il sait qu’on le regarde mais il ne sait pas qui. L’idée que des mecs se branlent devant son joli corps le fait gerber. Pas moyen de vérifier. Même les pseudos ne veulent rien dire. La moitié des tarés qui s’astiquent le manche en matant Internet donnent un nom de nana. Et puis merde. Il a besoin de voir. Qu’on le traite d’exhibitionniste, après ça. La piscine, c’est le top. Il se repose un peu, se lève, va vers les douches. Le mieux, ce sont les douches mixtes. Des fois, il y a un type qui se savonne, alors il va pisser en attendant. Pas d’homme. C’est une règle. L’autre, c’est pas trop de monde. Une fille, deux, ça passe. Trois ça devient dangereux. Au-delà, c’est un truc à se retrouver devant un maître nageur furibard, en train d’expliquer que la vioque a mal vu. Mais deux, c’est bien. Le mieux, c’est deux copines. Parce qu’il y en a toujours une qui reste, et du coup l’autre ose pas se tirer. Il a le temps de les observer. Il n’est pas difficile. Ce qu’il veut c’est qu’elles réagissent. Il aime celles qui se détournent, celles qui rougissent. Il aime, par-dessus tout, ...
    ... celles qui matent. Un coup à jouir tout de suite, sans même y mettre la main. Celles qui partent, il aime moins. Il les enregistre pour ses rêveries solitaires. Il les imagine, fascinées, comme les papillons autour d’une lampe, qui tournent autour de lui, autour de son sexe bandé. Un de ses meilleurs souvenirs, c’est cette grosse rousse qui s’est écrié « putain, qu’elle est belle ! ». Il était parti tout de suite, d’un coup. Il n’y a personne. Ni homme ni femme. Il se prépare. Il ne peut pas se permettre de fermer les yeux, c’est dommage. Parfois il aimerait savourer la montée du plaisir. Mais c’est antinomique. S’il est sûr qu’on va le regarder, il s’excite moins. Le truc, c’est de ne pas savoir. Et le risque. Il entend deux filles glousser. Ça commence. Ça vient. Elles arrivent. Il attend qu’elles s’installent, la serviette accrochée au sec, le shampooing sorti. Il s’amuse de leurs contorsions. Il parierait bien que la brune retirerait son maillot s’il n’était pas là. L’autre a les cheveux couverts de mousse, maintenant. Il bande à en péter son slip. Il faut qu’il la sorte, maintenant. Il le fait. Il se masse lentement en les regardant. Elles n’ont pas vu encore, elles discutent. La petite rince ses cheveux, se frotte le visage, et le voit. Elle crie. Un piaillement aigu. L’autre s’exclame « k’es-ce’ta ? », et se retourne. Estomaquée. La bouche ouverte, comme si elle allait l’avaler. Et la première, les mains devant les yeux, doigts écartés la petite cochonne, elle n’en ...