1. Tournante de pines pour maman et tante Lucie. (1)


    Datte: 05/10/2017, Catégories: Partouze / Groupe

    ... conte mon père. A chaque fois que j’entendais leurs ébats, je me bouchais les oreilles... et leurs ébats étaient longs. En même temps je conçus l’idée de ressembler à mon père qui est grand et baraqué, ce qui déterminant chez moi le goût de la musculation. Quelques jours après, mes parents furent convoqués à l’école car mon frère avait tout répété à ses petits camarades qui l’avaient répété à leurs parents qui l’avaient répété à la directrice... Quelques années après, nous déménageâmes dans cette vaste maison en plaine campagne. Le hall est immense, le salon-salle à manger aussi. Mes parents ont, au rez-de chaussée, leur chambre avec salle de bain, contigüe à une pièce qui sert de salle de muscu et il y a aussi le bureau de papa. A l’étage plusieurs chambres, dont les nôtres éloignées de la chambre des parents et insonorisées quand les portes du couloir sont fermées. Malgré cela, il m’arrivait encore de surprendre le bruit lointain du coït... surtout quand, à l’adolescence, mon frère "oubliait" de fermer les portes du couloir. Quand je fus en âge de bander, il m’arrivait de descendre en douce écouter derrière la porte et entendre mon père traiter ma mère de tous les noms et ma mère lui demander de "l’empaler, la déchirer, etc". Alors, je triquais et je me sentais coupable quand, de retour dans ma chambre, je me faisais plaisir. Un soir de pleine lune, en été, peu après ma majorité il y a quelques mois, j’avais laissé ma fenêtre ouverte à cause de l’extrême chaleur. Mes ...
    ... parents avaient dû en faire autant car les cris de ma mère me parvenaient de l’extérieur. L’idée me vint que, leur fenêtre étant ouverte, ils auraient pu aussi ne pas fermer les volets et je descendis à pas de loups, sortis par la porte de l’arrière-cuisine et arrivai sur la terrasse. J’eus un coup de frousse terrible. Un homme se détachait, un peu penché, épiant ce qui se passait. Un trait de lumière au sol prouvait que mes parents avaient laissé les volets ouverts et avaient juste tiré les rideaux. Je reconnus vite mon frère, entièrement nu, de dos. En l’approchant, je vis qu’il se masturbait. Les râles de plaisir sortaient avec abondance. - Qu’est-ce tu fous là ? dis-je à voix basse. — Putain, t’es con, tu m’as fait peur... j’fais la même chose que toi bout coupé. Mon frère parfois, en privé, m’appelle bout coupé car je suis circoncis suite à un phimosis. - Tais toi, dit-il, il ne faut pas qu’ils nous entendent. - T’inquiète. En fait, mes parents faisaient tellement de bruit, qu’en nous contentant de chuchoter, ils ne pouvaient pas soupçonner notre présence. Je sentis ma verge grossir en voyant ce qui se passait derrière les rideaux entrouverts. Mon père montait ma mère en levrette. - Putain, t’as vu ce qu’il lui met ? Balaise le paternel. Mon père, effectivement pulvérisait la chatte de ma mère. Les cuisses claquaient sur les fesses avec force et rapidité. - Tu la sens ma grosse queue traînée, hein? T’aime toujours autant la bite ? - Oh oui, vas-y, mollis pas, bourre-moi ...