1. Tournante de pines pour maman et tante Lucie. (1)


    Datte: 05/10/2017, Catégories: Partouze / Groupe

    ... de rien. - Moi ça dépend.... c’est vrai que ça m’excite pas pareil... mais je veux voir ce qu’ils vont faire. T’as vu comme elle suce bien. - Beurk. C’est dégueu... ça sort du cul. - Tu fais moins le difficile quand une meuf te bouffe la pine. - Mais j’la sors pas du cul. - Et quand tu lui bouffe la chatte... tout à l’heure, quand papa broutait maman, tu crois que c’est pas dégueu... chochotte va ! - Tu les as vus faire ça ? - Qu’est-ce tu crois, y’a une demie heure au moins qu’ils baisent... et encore ! J’suis pas arrivé au début... regarde ! A ce moment, maman s’était mise à genoux sur le lit pour être plus en hauteur et elle comprimait la bite paternelle entre ses deux gros nichons. - Putain qu’elle doit être bonne ! - Alban ! C’est maman merde ! - Et ben je vais te dire qu’on peut être fiers d’avoir une mère aussi bien gaulée et je comprends que papa l’ait pécho parce que moi, j’aurais bien fait la même chose. - T’es bête !... J’en reviens pas de ce qu’ils font ! - Tout le monde fait ça  ! erzevvjn - Sûrement pas. - Tiens, Bertrand et Lucie par exemple ! Bertrand, c’est mon parrain et Lucie, sa femme, qu’on appelle tante Lucie alors qu’il n’y a rien comme lien de parenté, est la marraine d’Alban. Maxime, leur fils, a le même âge que mon frangin et c’est un super pote. - Comment tu sais cela ? - C’est Maxime qui le m’a dit. Ils ont super chauds et sa mère est une sacré salope. - N’importe quoi ! C’ets un gros mytho. - Il les a filmé en cachette... j’ai vu... chaud j’te ...
    ... dis! - M’ouais.... Mais à ce moment là, mon père se mit à gueuler. Il va juter, il va lui juter entre les nibards j’te dis... trop cool ! Et, effectivement, comme l’avait prévu mon frère, de très puissants jets de sperme jaillirent et inondèrent les seins de maman tout en éclaboussant autour, sur le visage et le menton. Et aussitôt, maman se mit à sucer. - Oh non ! - Quoi ? dit mon frère. - Mais c’est crade ! - Tais-toi, tu bandes toujours, alors fais pas ta mijaurée. C’est super bon de se faire bouffer le bout humide... aller casse-toi, ils ont fini , ils font bientôt fermer la fenêtre. Je remontai dans ma chambre où je terminai ma masturbation par de longs jets qui s’épanouirent sur mon torse, sur les oreillers et quelques gouttes, même, s’égarèrent dans mon cou ou ma joue gauche. Immédiatement après, j’éprouvais un immense dégout, tant pour ce que j’avais vu que pour ce que j’avais fait. Je m’étais excité en voyant mes parents copuler et je n’en étais pas particulièrement fier. Pendant plusieurs jours, je restai taciturne, plutôt désagréable avec mes parents qui se demandèrent ce que je pouvais bien avoir. Puis, je me fis une raison en me disant qu’ils avaient bien le droit d’avoir leur vie privée et qu’après tout je n’avais pas été déposé à la maison par une cigogne. Et donc, ce soir, j’étais là, devant la porte à entendre les cris de jouissance de ma mère. Mais... mais... la voiture de mon parrain ? Celle de mon frère et l’autre bagnole ? Non, je devais me tromper d’autant ...