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Un été des années 70
Datte: 06/07/2020, Catégories: Partouze / Groupe
... très vite leur besoin d'être pénétrées, de peur peut-être que leurs chevaliers servants ne débandent prématurément. Ce en quoi elles se trompaient car les deux gaillards étaient conquis par ces chairs abondantes, juteuses et frémissantes, ouvertes en grand. Damien prit Geneviève par les chevilles, les leva, les écarta et enfonça lentement son gros chibre dans la vulve trempée de son ancien prof d'anglais qui gémit d'abord puis brama de plaisir, le noeud proéminent du jeune homme ayant atteint des replis inexplorés depuis des lustres. Sur le canapé, Nicole était venue s'empaler sur Cédric et lui fourrer ses nichons dans le museau. Quand celui-ci fut totalement enfoncé en elle, son staccato provoqua chez la prof d'allemand, très chahutée, une série de cris gutturaux qui rappelèrent aux acteurs de la scène ceux poussés à la plage par l'athlétique blonde au moment où son partenaire avait accéléré le rythme. Les deux couples baisaient et baisaient avec ardeur au point de mettre leurs supports mobiliers à rude épreuve. Après une longue frustration, les uns assouvissaient leur penchant pour ces femmes mûres, à la chair mouvante et exigeante, tandis que les autres se régalaient de ces corps durs, actifs, endurants, sans concession. Les mots crus fleurirent, en particulier dans la bouche des deux profs, ce qui ne laissa pas d'étonner leurs anciens élèves. Geneviève Bonneau célébrait de manière précise et anatomique le pénis hors normes de Damien qui, à entendre la récipiendaire, lui ...
... procurait des sensations inédites. Quant à Nicole Robert, écartelée sur le canapé, les mains crispées sur les fesses de son jeune amant, elle manifestait à haute voix son appréhension de le voir se retirer trop vite de son intimité et l'invitait à persévérer très longtemps avec une collection d'adverbes explicites. A l'expérience, les deux profs comprirent qu'elles avaient tiré le gros lot avec ces deux fringants étalons capables de conserver immuablement leur rigidité initiale, de les prendre par devant, par derrière et par en-dessous au gré de leurs désirs à elles, de leur donner à manger et d'être mangées elles-mêmes, d'oser aussi quelques fantaisies anales qui les instruisirent définitivement sur le degré d'information sexuelle de la nouvelle génération. Les deux gaillards, littéralement survoltés, se gavèrent de chair féminine comme d'un repas pantagruélique au point de sortir de ces ébats la bouche poisseuse de sueur et de cyprine et des poils entre les dents. Dévorées des orteils à la nuque, saoulées de coups de bite dans tous leurs orifices, pétries et malaxées, les deux femmes, trempées de la tête aux pieds, quasi aphones à force d'avoir joui et les yeux cernés d'épuisement, finirent par demander grâce et par implorer le sperme. Les deux gars, qui s'étaient beaucoup retenus, ne se le firent pas dire deux fois et éclaboussèrent leurs partenaires de leur semence épaisse et odorante. Celles-ci, au bout de quelques minutes, gagnèrent la salle de bain en titubant tandis ...