1. Au service de Madame


    Datte: 06/07/2020, Catégories: ffh, fplusag, jeunes, poilu(e)s, douche, hsoumis, soubrette, odeurs, intermast, Oral fgode, init,

    ... Quand il fut arrivé au service, elle vit bien que la rusticité du jeune homme s’exprimait avant tout par son manque d’hygiène. Elle entreprit donc un après-midi de lui donner un bain. Les communs étaient aménagés de façon assez pratique, et aux chambres des domestiques situées dans l’entresol était adjointe une petite salle d’eau disposant d’une baignoire sabot. C’est là que Gaston fut mis dans l’obligation de se rendre, obligé qu’il était par sa tutrice. Marinette resta présente car elle tenait à veiller elle-même aux ablutions de son protégé. Son but était non seulement d’assister mais aussi de participer car elle entendait bien décaper et aussi entreprendre le jeune naïf. Pour ce faire, elle avait enlevé sa jupe et s’affichait en longue culotte fendue et corsage décolleté. Gaston, quant à lui, fut mis dans l’obligation de découvrir son corps sec et bien sculpté, mais il souhaita conserver sa culotte. Sa vie rurale de jeune travailleur manuel avait modelé son corps et lui conférait une silhouette musculeuse et harmonieuse. Marinette intervint autoritairement pour qu’il enlève son caleçon. — Enlève-moi ça, dit-elle, tu sais, j’en ai vu d’autres ! Allez, plus vite que ça ! Gaston se retrouva nu comme un ver, cachant sa bite de ses mains réunies. — Allez, dans l’eau ! poursuivit Marinette, tu vas me dire si c’est trop chaud ! Quand il enjamba la baignoire, Marinette, attentive à chacun de ses mouvements, entrevit une courte bite, trapue et mollassonne. La nature, ...
    ... semble-t-il, l’avait doté d’une verge peu longue au gland particulièrement massif. Un peu comme le serait une grosse morille. Ses bourses pendouillaient d’ailleurs allègrement en dépassant de peu son membre viril. Quand il fut assis dans l’eau et la température ajustée, Marinette s’empara de la grosse éponge naturelle qu’elle utilisait elle aussi pour se toiletter et commença à savonner le dos du jeune homme. Celui-ci commençait à se détendre. — Oh, ça fait bien du bien ça, dit-il avec son accent du terroir. Marinette lui confirma que cela devait être agréable et elle l’entreprit sur son expérience avec les filles. — Alors, ça remonte à quand que t’as vu une belle fille comme moi ? demanda-t-elle.— Ben ! ça doit remonter à l’été dernier où j’suis allé à la rivière avec la Pauline, la fille de not’ voisine, répondit-il naïvement.— Et qu’est-ce qu’elle t’a fait, la Pauline ? renchérit évidemment Marinette. La bonne passait l’éponge savonneuse sur son torse à peine poilu, ainsi que sous ses bras. — Ben, quand on était dans l’eau, elle m’a embrassé et elle m’a touché la… euh… Il s’interrompit par timidité, et le mot adéquat lui manquait. — Alors, qu’est-ce qu’elle t’a touché ? s’enquit la bonne en changeant l’éponge de main pour descendre dans l’eau à la rencontre du sexe de Gaston. Oh ben toi ! t’en as une ! avec un sacré gros bout ! s’exclama-t-elle en lui touchant le bas du ventre. Gaston se sentait intimidé, ne sachant que faire pour cacher un semblant de gêne. Marinette caressait ...
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