Isabelle
Datte: 07/07/2020,
Catégories:
fsoumise,
hdomine,
humilié(e),
Voyeur / Exhib / Nudisme
rasage,
Oral
fsodo,
init,
fantastiqu,
... descente et lorsqu’il arriva à son mont de vénus, elle contracta les cuisses, espérant les resserrer, mais la barre l’en empêchait. Les mains de l’homme continuaient de lui masser les seins lorsque sa langue effleura sa fente. — Non, gémit-elle. Il ne tint aucun compte de ce cri. Ce n’était pas le mot convenu. Lorsque la langue s’aventura plus en avant, Isabelle sentit son ventre bouillir. Elle ne comprenait pas ce qui se passait et était incapable de dire si elle aimait ou non. C’était agréable, très agréable, mais elle ne voulait pas perdre le contrôle. Elle ne voulait pas le laisser la dominer. Or, elle avait l’impression qu’à chaque caresse, à chaque coup de langue, à chaque téton pincé, elle perdait un peu plus. Lorsqu’il se mit à sucer un petit bout de chair proéminent et gonflé, Isabelle sut qu’elle avait perdu cette bataille. Son ventre fut envahi de spasmes incontrôlables tandis qu’elle fut incapable de réfréner un cri de plaisir, puis d’horreur en sentant glisser les pièces hors de leur logement. À l’instant même où les bouts de métal sortirent, le noble cessa tout attouchement, laissant Isabelle au bord de l’explosion. Elle comprit qu’arrêter à ce moment précis était le pire de tout ce qu’il lui avait fait. — Pitié, continuez… s’entendit-elle supplier.— Oh non, je décide. Regarde ! Elle se força à ouvrir les yeux. Dans la main du noble, elle vit les trois pièces d’or, gluantes, mais aisément reconnaissables. Isabelle se sentait fatiguée. En un instant, elle ...
... venait de tout perdre. En un instant, il venait de lui prouver sa supériorité. — Ouvre la bouche, tu vas nettoyer les pièces.— Non, dit-elle.— Tu ne crois tout de même pas que je vais les remettre dans cet état dans ma bourse ? Ouvre la bouche, dépêche-toi ! Elle obtempéra et il lui mit la première pièce dans la bouche. Elle la suça, découvrant le goût de son propre plaisir. Il la reprit, l’essuya sur ses braies puis fit de même avec l’autre pièce. Pour la dernière, il lança : — Celle-là, pas besoin de la nettoyer. C’est cadeau pour ce que tu viens de m’offrir. Il la logea au creux de son intimité puis alla chercher un chiffon dont il se servit pour essuyer les cuisses trempées de la jeune femme. Isabelle n’avait pas envie de parler, ni de partir, ni de rester. Elle ne savait plus ce qu’elle voulait. Elle avait une pièce dans son intimité. Perdrait-elle sa dignité en partant maintenant alors que moins de dix minutes plus tôt, elle en avait deux de plus ? Elle le sentit l’essuyer succinctement puis la détacher. Il la retint, car elle eut du mal à se tenir debout. Il la coucha sur un tapis de l’autre côté du lit, la recouvrit d’une couverture chaude puis souffla : — Tu peux dormir. Tu en as bien besoin. Repose-toi et n’aie crainte, personne ne viendra te déranger ici. Isabelle ne s’était jamais sentie aussi fatiguée, même après une journée au champ. Elle s’endormit immédiatement. Elle fut réveillée par une sublime odeur de nourriture. Elle ouvrit les yeux et découvrit son client, ...