Isabelle
Datte: 07/07/2020,
Catégories:
fsoumise,
hdomine,
humilié(e),
Voyeur / Exhib / Nudisme
rasage,
Oral
fsodo,
init,
fantastiqu,
... attablé, en train de déjeuner. Il la regardait en souriant. — Bien dormi, petite chienne ?— Oui, mon seigneur et maître.— Tu as faim ?— Oui, mon seigneur et maître.— Approche. Elle se leva, laissant la couverture traîner par terre et s’avança vers lui. D’un geste, il lui fit comprendre qu’elle devait s’agenouiller à ses côtés. Elle obéit, se mettant dans la position qu’elle avait apprise la veille. Il prit un morceau de viande qu’il plaça dans la paume de sa main et qu’il tendit vers elle. Lorsqu’elle retira ses mains de son dos pour s’en saisir, il retira sa main en la regardant dans les yeux. Elle comprit ce qu’il attendait d’elle. Elle remit ses mains en place et mangea dans la main tendue. — C’est ainsi qu’une chienne mange, dans la main de son maître, dit-il. Isabelle ne répondit rien, se sentant plus humiliée que jamais. Régulièrement, il passait une main dans cheveux, comme un maître caressant son animal de compagnie. Le repas fut cependant agréable. Isabelle n’avait jamais rien mangé d’aussi bon et surtout, elle eut droit à une quantité illimitée de viande alors que, paysanne pauvre, elle ne mangeait habituellement que du gruau de blé et d’avoine avec un peu de pain. Ici, chaque plat contenait des épices sublimes, de la viande, des légumes divinement cuisinés. Elle put goûter des fromages délicieux et des desserts sucrés qui ravirent ses papilles, le tout arrosé d’un vin léger, délicat et subtil. Le noble ne restreignit absolument pas la quantité, lui en offrant ...
... autant qu’elle le souhaitait, si bien qu’elle finit par en avoir mal au ventre à force d’en manger autant, elle qui était peu habituée à une nourriture à foison. Lorsque le repas fut terminé, le noble lança : — Je vais te laisser. J’ai du travail. Ne quitte pas la chambre. Tu serais en danger dehors. Elle hocha la tête, comprenant parfaitement la nature du danger en question. — Un serviteur viendra chercher le plateau et nettoyer la chambre, mais il ne te touchera pas, ou alors seulement des yeux. Contente-toi de le laisser agir sans le gêner.— Bien, mon seigneur et maître. Il se leva alors et sortit, laissant la jeune femme seule. Isabelle resta longtemps dans la chambre avant que le serviteur n’arrive, mais elle ne s’ennuya pas, car depuis les fenêtres, elle voyait le jardin où des belles dames et de beaux seigneurs allaient et venaient, se promenant à pied ou à cheval, entrant ou descendant parfois de sublimes voitures tirées par des chevaux de qualité. Elle s’amusait à regarder la ronde des nobles, emplissant ses yeux des étoffes qu’elle ne pourrait jamais s’offrir. Elle sourit en contractant son ventre, sentant à l’intérieur la petite pièce dorée. Avec cet argent, elle pourrait s’acheter une de ces robes, mais ça serait du gaspillage. Ils en avaient besoin pour la ferme. Il était hors de question de la gaspiller dans de telles niaiseries. Isabelle en était consciente, mais ne s’empêcha pas pour autant de rêver. Le serviteur qui entra ne posa même pas ses yeux sur elle. Il ...