Isabelle
Datte: 07/07/2020,
Catégories:
fsoumise,
hdomine,
humilié(e),
Voyeur / Exhib / Nudisme
rasage,
Oral
fsodo,
init,
fantastiqu,
... bonne petite chienne. Crois-tu que les chiennes utilisent des bassines d’eau pour se laver. Moi je suis sûr que non. Lèche-toi et dépêche-toi ! Isabelle obtempéra avec dégoût. Lorsqu’elle eut terminé, elle tendit les pièces au noble après s’être approchée en conservant la position animale souhaitée. Il les remit en place. Elle souffla : — Ce que j’ai fait ne mérite pas récompense ?— Pardon ? répliqua-t-il d’une voix froide et cassante. J’ai dû mal comprendre là ! J’ai dû rêver ! Tu veux une récompense ? Pour quoi exactement ? Pour avoir refusé d’obéir ou pour avoir essayé de te comporter comme une humaine alors que tu n’es qu’une chienne. Je vais te dire moi : ce que tu viens de faire mérite plutôt que tu te prennes deux claques mais parce que je suis clément, je vais me contenter de la leçon d’humiliation que tu viens de subir comme punition. Isabelle avait l’impression de se trouver six pieds sous terre, sous la botte de cet homme. Elle tremblait mais conservait les yeux baissés, n’osant les relever, pleurant presque sous les récriminations. Un silence suivit, long, très long, pendant lequel elle sentit le regard lourd du noble peser sur elle. Lorsqu’elle parla, sa voix tremblante et pleine de larmes sembla trancher mortellement l’air : — Je vous supplie de me pardonner, mon seigneur et maître. Il saisit alors son menton et lorsqu’Isabelle posa son regard sur lui, il avait un visage accueillant, souriant, rassurant. — Tu es pardonnée, mais ne refais jamais ça. Isabelle ...
... hocha la tête. Il lui sécha ses larmes avec douceur puis dit d’une voix tendre : — Que dirais-tu d’une gorgée de vin pour faire passer le goût que tu as dans la bouche ? Ce disant, il lui tendit un verre. Elle accepta volontiers l’offre et il posa lui-même le verre sur ses lèvres, comme pendant le précédent déjeuner. Elle avala trois gorgées, l’en remercia et le noble reprit la lecture d’un parchemin sans plus se préoccuper d’elle. Il lisait à la lueur de chandelles, la nuit étant maintenant complètement tombée. Après un temps qu’Isabelle trouva interminable, il posa le dernier parchemin puis se tourna vers Isabelle. — Nous avons tous deux besoin de repos. Il saisit doucement son visage, posa simplement ses lèvres sur les siennes dans un rapide, fugace mais tendre baiser puis passa à côté d’elle en lui caressant gentiment la tête. — Tu dors par terre, à côté de moi, sur le tapis. Prends la couverture. Malgré le feu, les nuits sont fraîches. D’un geste rapide et sur de quelqu’un d’habitué à effectuer ce geste, il rabattit les rideaux entourant le lit et s’y engouffra. Isabelle l’entendit se mettre sous les draps puis il n’y eut plus que le silence. Isabelle souffla les bougies puis se coucha sur le tapis. Il s’avéra plus tendre que sa paillasse à la ferme. Habituée à s’endormir à la tombée de la nuit et non aussi tard, elle s’endormit très vite. Elle se réveilla à l’aube, le coq la tirant d’habitude de ses songes. Elle se sentait merveilleusement reposée. Elle s’étira et regarda ...