Isabelle
Datte: 07/07/2020,
Catégories:
fsoumise,
hdomine,
humilié(e),
Voyeur / Exhib / Nudisme
rasage,
Oral
fsodo,
init,
fantastiqu,
... autour d’elle. Le feu brûlait toujours dans la grande cheminée en marbre et une lueur blanche filtrait à travers les rideaux de coton. Elle se leva sans bruit et se dirigea vers les fenêtres. Au milieu du trajet, elle stoppa, remarquant une chose : la table avait été nettoyée, la pièce rangée. Le seau avait été vidé et remis le long du mur. Ainsi donc, des serviteurs étaient venus pendant la nuit. Elle admira leur furtivité car elle n’avait strictement rien entendu. Sur la table se trouvait un plateau garni de fruits, de morceaux de viande froide, de pain, de fromage, de vin et autres mets appétissants. Isabelle avait faim mais elle ne toucha pas au plateau, préférant attendre le réveil du seigneur des lieux. Elle risqua un œil derrière les rideaux. Dans le jardin, l’aube naissante créait des ombres mystérieuses. Des soldats faisaient leur ronde, l’un d’eux tenant à ses côtés un féroce chien de garde en laisse. Les premières voitures arrivèrent, venant chercher des nobles visiblement pressés. Les serviteurs s’activaient. Isabelle vit même une dame frapper un écuyer peu habile ayant fait tomber une valise en plein sur une crotte de cheval. Isabelle se retint d’exploser de rire devant la scène cocasse. Elle regardait un groupe de notables attendre leur voiture lorsqu’elle entendit du bruit en provenance du lit derrière elle. Elle se retourna et remarqua qu’il bougeait légèrement. — Tu es réveillée ? lança une voix depuis l’intérieur des rideaux.— Oui, mon seigneur et maître, ...
... répondit-elle.— Ah, parfait ! Ouvre les rideaux, d’abord ceux des fenêtres puis ceux du lit, tu veux ? Isabelle obéit. Le soleil était maintenant bien levé et la pièce s’emplit d’une lueur jaune mais pas encore chaude. Puis, elle s’approcha du lit et accrocha les rideaux en haut des colonnes. Ce faisant, elle levait les bras, exposant son corps nu au noble étendu qui n’en perdait pas une miette. Ce réveil n’était pas pour lui déplaire. Lorsque les trois rideaux furent attachés, il lança : — Apporte le plateau de nourriture sur le lit. Elle obéit avec difficulté car il était lourd mais parvint à le poser sans casse. — Maintenant, viens là, dit-il en désignant le sol près de lui, du côté du lit où le plateau n’était pas. Elle s’y plaça, comprenant qu’elle devait se mettre à genoux sans qu’il n’eut besoin de le lui demander. — Ta servitude mérite bien récompense. Après tout, tu n’es pas ma servante. Apporte-moi ma bourse que je puisse te payer. Isabelle sourit, se leva, lui apporta l’écrin de cuir, se remit à genoux puis souffla, alors qu’il l’ouvrait et plongeait sa main à l’intérieur : — S’il vous plaît, mon seigneur et maître, pourrais-je vider ma vessie avant que vous me récompensiez ? Il sourit, lui caressa doucement la joue puis lança : — D’accord, fais. Isabelle l’en remercia chaleureusement puis alla faire ses besoins dans le seau qu’elle plaça d’abord au centre de la pièce. Le noble la regarda faire ses besoins sans jamais détourner les yeux. Isabelle fut à nouveau gênée ...