Oscar ! Le destin d'une rose...
Datte: 07/07/2020,
Catégories:
f,
fh,
forêt,
intermast,
Oral
69,
... venait de faire, écouta avec respect ce qu’il lui dit. Il lui annonça qu’afin de renforcer le traité de paix entre l’Autriche et la France, il avait été décidé que Marie-Antoinette, fille cadette de l’Archiduchesse Marie-Thérèse, épouserait le dauphin Louis-Auguste. Sa Majesté Louis XV, cherchant le meilleur Capitaine de la Garde Royale pour protéger le jeune couple, organiserait un combat public entre le Comte de Girodelle et Oscar. Mais Oscar, n’ayant point envie de servir une femme, préféra bafouer les règles royales et affronter son adversaire à l’abri de tout regard. C’est dans une clairière éloignée, qu’elle affronta le Comte de Girodelle, l’homme était grand et son charisme était impressionnant, pourtant Oscar ne sembla pas du tout déconcertée. Ils se fasaient face, l’épée à la main, le regard vif, prêts à combattre, lorsque le comte de Girodelle se mit à parler : — Hum… Dites-moi, Oscar, avez-vous vraiment envie de faire ce duel contre moi ?— Vous savez fort bien, Comte, que je ne suis pas prête à me mettre au service d’une femme, c’est pourquoi je préfère avoir ce duel à l’abri des regards.— Alors, pourquoi ne pas changer les règles du jeu ?— Que voulez-vous dire, Comte ? Expliquez-vous. Le Comte rangea son épée dans son fourreau, et s’approcha d’Oscar. — Voyez-vous, j’ai une très bonne idée, plutôt que de nous donner des coups qui pourraient nous blesser, pourquoi ne pas nous donner des coups qui nous procureraient du plaisir ? Oscar le regardait, interrogatrice ...
... : — Continuez, je vous écoute, Comte, répondis Oscar, tout en rangeant à son tour son arme dans son écrin. Le Comte passa derrière Oscar et lui chuchota à l’oreille : — Mon idée est la suivante, et j’espère que vous irez dans mon sens. Je vous propose de vous déshabiller, je me déshabillerai aussi, ainsi nous pourrions voir qui, de nous deux, maîtrise le mieux son corps.— Mais comment ? interrogea Oscar.— Je vais m’occuper de vous, pendant que vous vous occuperez de moi. Oscar fronça les sourcils, elle ne comprenait pas vraiment où voulait en venir le Comte. — Je vous sens surprise, Oscar ? Ne me dites pas que vous ne savez pas de quoi je parle. Une femme de chambre vous a surprise en train de vous donner des caresses et m’en a relaté les faits. Oscar sentit le rouge lui monter aux joues, elle n’avait pas songé un instant qu’elle aurait pu être vue à son insu. — Ce que je vous propose, Oscar, c’est de me laisser vous faire ce que vous avez fait seule, et, en parallèle, vous me donnez ces caresses.— Mais, Comte, nous ne sommes pas faits pareils, comment savoir ce que je dois faire ? Le Comte émit un petit rire. — N’ayez aucune crainte, je vous dirai ce que vous devez faire. Oscar semblait réticente à l’idée, puis finalement la curiosité l’emporta et elle accepta. — Très bien, dit le Comte, je vais vous entreprendre… Voilà qu’il posa ses mains sur la tunique d’Oscar qu’il laissa glisser le long de ses bras, elle se retrouva avec sa chemise. Il la fit se tourner face à lui, et ...