Oscar ! Le destin d'une rose...
Datte: 07/07/2020,
Catégories:
f,
fh,
forêt,
intermast,
Oral
69,
... entreprit de lui ôter sa chemise à jabot. Oscar leva les bras, et le Comte la lui retira. Voilà Oscar, le torse nu, les seins offerts à la douceur de la brise légère. — Hummm… dit le comte, vos seins sont aussi beaux que des melons bien mûrs. Disant cela, il prit les seins d’Oscar dans chaque paume, et, approchant sa bouche, se mit à passer sa langue autour de chaque mamelon. La pointe des seins se dressait fièrement, et le Comte ne put s’empêcher de se mettre à les suçoter avec délectation. Oscar sentit un frisson la parcourir. Elle jeta la tête en arrière et savoura cet instant. — Retire ton pantalon, lui ordonna le Comte. Oscar le fit sans dire un mot, elle se retrouva nue face à lui. Le Comte sembla la scruter sous tous les angles. — Parfaite, vraiment parfaite. Le comte se dévêtit à son tour, et Oscar put apercevoir le membre rigide et droit comme un pique. Le Comte reprit la parole : — Je vais me coucher sur le dos, et, toi, tu viendras te mettre au-dessus de moi à quatre pattes, ton sexe près de mon visage. Oscar ne pipait mot, elle fit ce que le Comte lui demandait et lorsqu’elle fut au-dessus de lui, le sexe du Comte très proche de son visage, elle ne savait toujours pas ce qu’elle devait faire. — Que dois-je faire ? demanda-t-elle.— Tu vas prendre ma verge dans ta main, et tu vas prendre le bout dans ta bouche, puis doucement tu feras aller et venir ta bouche le long de mon phallus, tout en activant un va-et-vient avec ta main. As-tu bien compris ? Ne te sers pas ...
... de tes dents, cela peut être douloureux, et tu risquerais de le regretter par la suite.— Je ferai de mon mieux, répondit Oscar. Ce disant, elle prit la verge du Comte dans sa main, et avança sa bouche vers le gland, elle prit sa respiration et avala tout de go le sexe en une seule fois. — Oui… gémit le comte, voilà maintenant, va et viens. Oscar commença à aller et venir, doucement au départ, puis accéléra le mouvement s’aidant du rythme de sa main. Elle sursauta, quand elle sentit le Comte écarter les lèvres de son sexe et y passer la langue. — Que faites-vous ?— Je te lèche, maintenant nous verrons qui, de nous deux, saura le mieux maîtriser son corps. Oscar sentit la langue du Comte se poser sur son petit bouton rose, celui qui lui avait donné tant de plaisir dans la découverte solitaire de son corps. Elle se mit à gémir, et dut trouver des ressources en elle pour se concentrer sur le membre du Comte. Elle s’activait, aussi consciencieuse qu’une abeille qui butine. Elle fit tourner sa langue autour du prépuce, et sentit par les contractions musculaires du Comte, que cela avait un effet. Alors, elle rempila de plus belle. Le Comte, quant à lui, passait sa langue le long des lèvres humides, s’insinua dans le petit trou encore vierge de la belle Oscar. Il mordillait le clitoris et Oscar ne pouvait retenir ses gémissements. — Oh… oui… c’est bon… c’est si bon… Le Comte se régalait de la cyprine coulant de la vulve de la belle, et de ses mains il lui écarta les fesses, et laissa ...