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Section TG (16)
Datte: 08/07/2020, Catégories: Transexuels
... Malgré tout, à ce moment-là, il se passa quelque chose de bizarre dans ma tête mais je n’y prêtai pas cas. Ma main remonta le long de sa cuisse et caressa ses fesses puis passa devant pour toucher son sexe toujours au repos. Le mien commençait à s’agiter dans mon string. Je quittai ses lèvres et appuyai doucement sur ses épaules. Elle comprit où je voulais en venir, se mit à genou et prit ma queue dans sa bouche. Dieu qu’elle suçait bien ! — Encule-là maintenant ! lança Anton. Vanessa se tourna. Je relevai sa jupe et écartai la ficelle du string. Je glissai un préservatif et entrai en elle. Je la pris par les hanches pour mieux la pénétrer. Encore cette étrange sensation de plaisir et de bien-être. Je lui fis l’amour pendant quelques minutes jusqu’à ce qu’Anton nous interrompe et prenne ma place. Sergeï s’occupa de moi et les autres invités reprirent là où ils en étaient restés. La soirée dura quelques heures. On passa de mains en mains, ou plutôt de bites en bites. Ils tentèrent même sur nous une double pénétration anale. Et chose étrange, je l’acceptai, contrairement à Vanessa. Parfois les filles se gouinaient mais seulement parce que l’une d’elles se faisaient besogner par un des mâles. La seule qui ne participait pas, ou alors à peine, était la grande blonde qui nous avait reçues. Et les rares fois où elle jouait, ce n’était qu’avec des femmes. J’en conclus logiquement qu’elle était purement lesbienne. La soirée s’acheva enfin. Mon cul était dilaté comme jamais et ...
... l’espace d’un instant je crus qu’il ne se refermerait jamais. Tout le monde prenait congés et notre tour arriva. Si on voulait s’incruster, c’était maintenant qu’il fallait jouer. Je sentais Vanessa fébrile sur ce coup. Non pas qu’elle ne voulait pas assurer la mission. Juste qu’elle ne savait pas comment s’y prendre. Je me collai à Anton. — J’ai l’impression que la blonde n’aime que les femmes et qu’il n’y a pas de Madame Anton ni de Madame Sergeï. Alors on se propose non pas de les remplacer, mais de vous tenir compagnie, d’être à votre disposition quand bon vous semble. Anton me regarda bizarrement se demandant si je plaisantais, si je me foutais de sa gueule ou si j’étais tout simplement inconsciente. Puis il éclata de rire. — Putain, tu ne manques pas d’air toi. Tu es encore plus gonflée que tes nibards. Et pourquoi j’accepterai de te prendre comme ... dame de compagnie ? — Eh bien parce qu’on aime le sexe, qu’on n’a pas de tabou ou presque et qu’on est disponible tout le temps. On a la chance de ne pas avoir nos ragnagnas, dis-je en jetant un coup d’œil à la blonde — C’est bien beau tout ça. Et en échange, vous voulez quoi ? — Oh pas grand-chose. Nourries, logées et une carte de crédit pour aller faire du shopping. Les deux hommes éclatèrent de rire. — Vous ne manquez pas de culot ! Et vos deux copines qui sont malades ? — Tant pis pour elles. Les affaires sont les affaires, non ? — Et de combien le crédit ? demanda Sergeï — Pas beaucoup. Cinq cent euros. — Bah, si c’est que ...