1. Les Récits de Sandie - N° 5.


    Datte: 08/07/2020, Catégories: Entre-nous, Hétéro

    ... j'étais sure maintenant, qu'elle remontait doucement la rue pour la troisième fois. Jean-Paul continuait de nous parler par la vitre de sa voiture : - Sandie, ou Sandrine ? quel est ton prénom ? - Oui, San… Sandie… Sandrine, je m'appelle réellement Sandrine. Mais là, pour…. - Pour moi tu seras Sandrine. Elle t'a rencardé Catie sur mes goûts, mes préférences ? - Oui un peu, je crois... - Catie, rencarde la bien qu'elle ne soit pas surprise… Qu'il n'y ait pas de malentendus. Je t'appelle ou appelle-moi si c'est ok. Mais je ne serai certainement pas libre avant une ou deux heures du mat. Mais si je peux me libérer avant pour passer une heure ou deux avec Sandrine…. Je crois que je gêne la circulation et le micheton. Il n'avait cessé de me regarder de me dévisager tout le temps. J'en avais froid dans le dos. Derrière lui, à l'arrêt le type en voiture aussi me regardait. Cela faisait au moins trois fois que lui passait. - Ok ! Jean-Paul je te préviens de toute façon. S'il te plait, ne plume pas trop mon Jule ! - Je lève sa dette avec Sandrine en échange. Ils s'échangèrent un petit rire. Jean-Paul redémarra en me jetant un dernier regard. La voiture qui attendait derrière s'avança doucement, le chauffeur me dévisagea. Il stoppa juste devant moi : - Combien ? - Trente euro la pipe et cent pour me baiser. - Ok je viens. Je pose ma voiture. Il repartit en petite allure. Catie me dit : - Jean-Paul a l'air d'en pincer pour toi. Il ne tient qu'à toi de finir la nuit avec lui Sandie. Tu ...
    ... ne veux pas tenter une expérience sadomasochiste avec lui ce soir ou cette nuit ? Je fis la grimace pendant qu’elle continuait : - C'est une expérience enrichissante tu sais. Alain te raccompagne après. - Je ne sais pas encore, il me fait peur. Il me rappelle quelqu'un. Mais je ne sais plus qui. - Ou même il peut te raccompagner à Toulon et vous faites ça chez toi. Vous serez plus tranquille et aurez plus de temps. - Non pas chez moi, je ne veux pas. - Pourquoi ? tu as bien sucé Alain et Roger dans ton salon. Tu peux bien baiser avec Jean-Paul sur ton lit. Tiens ton micheton qui arrive. Je m'avançai jusqu'à la porte et attendis deux ou trois secondes qu'il me rejoigne. Il était pas mal, la trentaine brun mince il avait les mains dans les poches de son blouson. Il me regarda. - Viens, suis-moi. Je montai les marches et je me retournai pour m'apercevoir qu'il avait le regard sur mes fesses. Je souris intérieurement. Je ne sais plus qui disait que le meilleur moment dans l'amour était celui-ci celui ou on montait l'escalier. Il avait bien raison. - Vous devez payer la chambre. Je le regardai donner ses dix euros symboliques juste pour la chambre. Je souris à Gérard en prenant la serviette la clé et le préservatif. Il me rendit un sourire. Une fois dans la chambre je refermai la porte. J'avais un tout petit peu plus d'assurance, mais étais tout de même intimidée, gênée. Je posai la serviette sur le paravent. Il enlevait son blouson. Je remarquai son alliance, il était marié. - Tu ...
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