1. Plagisme - Le retour


    Datte: 05/10/2017, Catégories: fh, couple, plage, Voyeur / Exhib / Nudisme nopéné,

    ... l’eau et à rejoindre ma femme qui est déjà quelques mètres devant moi. Elle ouvre carrément la marche, poitrine ouvertement en avant, tandis qu’elle déambule à présent sur la plage. Je vois bien que certains regards, surtout masculins, l’ont en point de mire. Je suis à la fois fier et chagriné, un curieux mélange de sensations. Je finis par rejoindre ma femme et lui prendre la main. J’aimerais beaucoup lui poser certaines questions, mais je n’ose pas. Chemin faisant, elle dit : — C’est amusant comme on se sent protégé par une simple paire de lunettes de soleil.— Je… je ne te comprends pas bien…— Oui, je suis seins à l’air, mais comme j’ai ces lunettes sur le bout de mon nez, c’est comme si… comme si je ne voyais pas les autres, ou que je les voie autrement. Comme si j’étais une autre. C’est une explication comme une autre. Tant mieux si ça lui permet d’être seins à l’air ; moi, ça me va très bien. Je lui réponds : — Je ne suis pas psychologue, mais ton explication se tient… Du moment que tu te sens bien, c’est le principal.— Oui, je me sens très bien comme ça, mais comme différente. J’arrive pas à expliquer… peut-être plus tard… Nous arrivons à l’emplacement de nos serviettes. À peine arrivée, avec décontraction, Claudine laisse tomber le bas. Je ne m’attendais pas à ce genre de prestation de sa part. Aussitôt, une certaine partie de mon anatomie se manifeste. Ma femme m’apostrophe : — Mon cher mari, tu n’oublies rien ?— C’est-à-dire ?— Auquel cas tu ne l’aurais pas ...
    ... remarqué, je n’ai plus rien sur moi…— Oh que si que je l’ai remarqué, et pas que moi !— C’est-à-dire !— Dans mon maillot, par exemple ! Elle écarquille les yeux puis s’esclaffe : — Décidément, il ne te faut pas grand-chose !— Désolé de te dire que je te trouve excitante ! Altière, elle s’approche dangereusement de moi : — Ah bon ? Excitante comment ?— Excitante, excitante !— Et quoi d’autre ?— Trop excitante !— Et puis encore ?— Allumeuse !— C’est tout ? Je suis un peu dépassé par la tournure des événements. Je bafouille : — A-allumeuse, tu-tu ne c-crois pas q-que c’est déjà assez ?— Je te plais ? Je t’allume ?— Et comment !— Enlève ton slip que je vérifie si tu me dis la vérité ! À mon grand étonnement, je m’exécute, puis je jette son maillot sur ma serviette étalée au sol. Elle hoche de la tête : — Ah oui, il est déjà en pleine forme… ça fait plaisir à voir !— Et je fais quoi, moi maintenant ?— Ça, c’est ton problème, mon cher mari !— C’est bien le propre d’une allumeuse, ça ! Tu me fous la trique, mais pour assumer ensuite, y a plus personne !— Fallait pas t’exciter !— Fallait pas m’allumer ! En riant, elle s’allonge sur le ventre, exposant au soleil ses mignonnes fesses. Je fais pareil, mais pour cacher mon obélisque de chair qui ne se décide pas à faiblir. De temps à autre, tandis qu’elle lit, je l’entends qui pouffe quand elle me jette un rapide coup d’œil. Décidément, rien ne se passe comme prévu ; ou plutôt si : ça se passe comme dans le pire des cas ! Mais j’ai quand même la ...
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