Plagisme - Le retour
Datte: 05/10/2017,
Catégories:
fh,
couple,
plage,
Voyeur / Exhib / Nudisme
nopéné,
... très bien que je t’aime !— Je sais que tu m’aimes, mais comment ?— Si je suis toujours avec toi, c’est qu’il y a une raison, non ? S’accoudant, et me dévoilant ainsi ses seins arrogants, elle soupire : — Ah ces hommes ! Oui, j’ai compris que tu m’aimes, mais ça ne t’écorcherait pas de me le dire un peu plus souvent.— Ah… mais… mais j’essaye de faire au mieux pour toi et les enfants.— Oui, ça je le sais. Mais c’est quand la dernière fois que tu m’as dit « je t’aime » sans vouloir me sauter dessus ? C’est quand la dernière fois que tu m’as offert un petit bouquet de fleurs ? Un restau à deux ? Juste un gros câlin ? Je dois reconnaître qu’elle marque des points. Je pensais qu’elle savait que je l’aimais et que ça suffisait. Mais il semblerait que j’ai fait fausse route. Donc, elle m’a juste fait peur avec ce crétin à grosse queue. Je préfère ça ! Je comprends que ma femme ait envie de se sentir désirée, d’autant qu’elle est une rose épanouie. Un peu penaud, je réponds : — OK, je vais rectifier ça…— Très bien, mais en attendant, il faut que tu te fasses pardonner.— Tout ce que tu veux !— Tout ce que je veux ? Le ton de sa voix m’indique que j’aurais dû tourner sept fois ma langue dans ma bouche. Elle se met à quatre pattes pour avancer langoureusement vers moi. Mon érection est violente ! — Alors, offre-moi une glace à l’italienne !— Ah… tu as vu où un marchand de glace sur cette plage ? Et puis, j’ai à nouveau la ...
... trique ! Elle part dans un long rire, je décroche. Puis au bout de presque une minute, elle se calme : — Décidément, tu n’es pas très doué… Je te rassure, pour cette glace, tu n’auras pas besoin de te lever et de faire voir à tout le monde que tu bandes.— Ah, tant mieux ! Ses seins oscillants sous elle, son visage très près du mien, elle susurre : — Non, non, je faisais allusion à une certaine glace à l’italienne, un extra… tu vois ?— Un extra… un « sextra » ?— Pas mal comme mot, je retiens ! Oui, un sextra, comme tu dis.— Tu…— Espèce de gros crétin jaloux ! Elle se jette sur moi, pour m’embrasser à pleine bouche, son corps tout chaud contre le mien. Nous roulons sur ma serviette, mon sexe ultra-dur contre son ventre. C’est incroyablement voluptueux, la sensation est si puissante, si forte, si extra que… Que… Ah non ! Tout, mais pas ça ! ! À ma grande honte, j’éjacule sans retenue, souillant nos ventres plaqués l’un contre l’autre. Toujours couchée sur moi, elle se redresse sur ses bras afin de regarder la flaque de sperme qui colle nos ventres respectifs : — Ah, mon pauvre chéri ! Puis s’effondrant contre moi, pesant de tout son poids, elle part dans un énorme fou-rire qui ne s’arrêtera que quelques longues minutes plus tard ! À cet instant, faussement rassuré, j’ignorais que la porte du poulailler avait été irrémédiablement ouverte, mais ceci est une autre histoire… Merci à Saint-R pour la trame générale de cette suite…