1. Plagisme - Le retour


    Datte: 05/10/2017, Catégories: fh, couple, plage, Voyeur / Exhib / Nudisme nopéné,

    ... mignons seins : — Oui, Adrien, ou Grosse-Queue si tu préfères. Il a tout pour plaire.— Et… et il te plaît ? C’est alors qu’elle balance son super missile atomique à très longue portée, le rêve absolu des dictateurs, surtout celui qui sévit en Corée du Nord : — Hum-hum, je voudrais qu’il me fasse l’amour, qu’il me baise ! Avec ton accord, bien sûr. Je suis sûre que tu y trouverais ton compte et ton plaisir. J’en reste momentanément sans voix, tandis qu’elle me sourit, absolument pas gênée. Je reprends mes esprits, tentant de limiter l’incendie : — OK, OK, OK, j’avoue que j’ai été lourd de vouloir t’exhiber. C’était une connerie, je le reconnais et je le regrette.— Non, mon chéri, ce n’était pas une connerie, tu as bien fait. Quelque part, tu m’as révélée. L’incendie se propage, je me donnerais bien des gifles d’avoir joué avec le feu, surtout si près d’un jerrycan d’essence ! Tandis qu’elle s’accroupit sur sa serviette, je m’exclame : — Mais… mais je ne veux pas te perdre !— Qui te parle de ça ? Je n’ai pas l’intention de te quitter. C’est juste pour le sexe, c’est toi que j’aime. Un petit extra de temps à autre, ça fait du bien. Un peu comme une bonne glace à l’italienne en plein beau milieu d’un régime !— Mais… tu…— Et si tu m’aimes comme je t’aime, offre-moi à Adrien. Quand vous mettez un corps humain dans de l’azote liquide, il est instantanément transformé en statue de glace. Si maintenant, vous donnez un petit coup de marteau bien placé, la statue en question explose ...
    ... en mille morceaux. C’est ce qui m’arrive. Je cligne des yeux, cherchant un argument, même futile : — Tu… tu as vu le monde qui nous entoure ? Sereine, elle chasse cette contre-indication d’un revers de main : — Pas grave, on va attendre qu’il y ait un peu moins de monde, ou bien on ira dans les dunes.— Et lui, il est au courant ?— Bien sûr… Je n’ose pas demander si c’est lui ou si c’est elle qui a fait en premier cette suggestion. Buste bien redressé, seins arrogants pointés vers moi, ses mains dans les cheveux, Claudine me demande ingénument : — Mais en attendant, tu veux bien que je retourne près de lui ?— Pour vous payer ma tête comme tout à l’heure ! ?— Tu t’es fait des idées, Adrien m’avait juste fait remarquer que tu semblais gêné par une érection plutôt tenace. Il m’a même demandé si tu ne souffrais pas de priapisme. Son explication se tient… mais ça ne résout pas le problème qui se pose à moi ! Tandis qu’elle réajuste sa serviette, de sa voix mielleuse, Claudine revient à la charge : — Alors, tu es OK ou pas OK ?— Eh ho ! Comme tu y vas, laisse-moi respirer !— C’est plutôt moi qui ai envie de respirer, d’aller voir ailleurs.— Et pourquoi là, maintenant ? Elle s’allonge puis s’étire sur sa serviette, telle une chatte en chaleur. Sa nudité éclatante en devient presque obscène. Le pire dans l’histoire, c’est que c’est moi qui lui ai tendu le bâton pour me battre. D’une voix de petite fille, elle demande : — Tu m’aimes comment ? Un peu, beaucoup, passionnément ?— Tu sais ...
«12...5678»