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Panpan cucul (2)
Datte: 09/07/2020, Catégories: Inceste / Tabou
... sexuelles. « - J’ai perdu trop de temps avec ton cher papa, je n’en perdrais pas davantage avec une femmelette qui joue au mâle et qui n’a rien dans le slip ! ». Trop c’est trop, je me suis levé d’un coup, je me suis rué sur elle... Elle s’est reculé jusqu’à s’acculer contre le buffet et elle ne peut plus fuir. Je la secoue un peu en hurlant, mais très vite je reprends le contrôle. Elle se rend compte que je me calme, alors elle me fusille du regard et comme pour me mettre au défi elle me crache au visage cette phrase assassine... « - Tu n’es qu’une couille molle comme ton père ! ». Je n’ai pas réfléchi, elle avait cet étrange sourire en m’insultant, alors je l’ai retourné et j’ai envoyé une belle baigne sur sa croupe. Elle a poussé un long râle et ce n’était pas de douleur et immédiatement elle a susurré ces mots pour me blesser dans mon orgueil... « - Tu t’arrêtes déjà couille molle ! ». Je la frappe de nouveau mais cette fois ci avec bien plus de force et elle répète encore sa phrase blessante. Elle me met à l’épreuve et je viens de comprendre, Maman veut que je la fesse comme une gamine capricieuse. Je cingle une nouvelle fois sa fesse, elle pousse un cri aigu, mais elle continu à me rabaisser et a chaque coup elle me motive de la plus odieuse des manières. « - Couille molle ! ». C’est bien ce qu’elle veut et je vais le lui donner. J’arrête de la frapper, je la couche sur le meuble et j’écarte ses jambes, elle ne dit plus rien. Je retrousse sa robe et la tire-bouchonne ...
... sur son dos, elle reste immobile un instant le dos bien plat puis recule ses pieds pour mieux me présenter son derrière et je l’entends de plus belle murmurer... « - Fais le, couille molle ! ». nslnwwkm Alors je claque son cul et recommence encore et encore. Je lui envoi claque sur claque et elle commence à s’essouffler, plus je la corrige et plus elle perd son souffle. Je la fesse et elle se délecte. J’arrête une seconde, j’ai le souvenir de quelques déculottées mémorable reçues de sa main, alors le vice me prends, j’attrape sa culotte et la descend prestement à mi cuisse. Elle va l’avoir sa branlée et ce sera cul nu. « - Vas y couille molle !, vas y... », m’implore t-elle d’une voix tremblotante. Je reprends la correction, j’ai attrapé sa nuque pour qu’elle reste en position et de l’autre bras je frappe. Chaque châtaigne rougit atrocement sa lune, elle continue ses insultes mais maintenant son timbre trahit son extase. Je perds toute morale, je n’arrête plus de la punir, ses fesses sont écarlates, elle doit avoir mal et pourtant chacune de ses plaintes me signifie sans pudeur qu’elle se régale. Je tape pourtant de plus en plus fort mais à présent ce ne sont que des « oui » gutturaux qui sortent de sa gorge. Je change de main, à force de la molester la première me lance et c’est là que je me suis rendu compte de l’impensable. Ma mère se branle à chaque calotte. J’abandonne toute retenue, à présent j’y vais franchement, la dégelée n’en finit pas de s’abattre sur son fondement ...