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Panpan cucul (2)
Datte: 09/07/2020, Catégories: Inceste / Tabou
... et plus je la bats et plus elle brame son ivresse. Je ne sais plus où j’en suis, la situation est ahurissante mais je m’enflamme. Ma mère aime être corrigée et je repense à cette première fois chez moi. Ce jour là j’ai fait sauter un verrou en elle et durant toute notre séparation elle a dû sacrément se morfondre. Je la fustige de toute ma fougue, j’aime rougir son fion, je n’aspire plus qu’à une seule chose le marbrer de mauve et de bleu. Je veux qu’elle soit couverte d’hématomes, qu’elle déguste. Ma mère aime la souffrance, elle jouit d’être rabaissée et punie comme une gosse, mais plus encore, elle aime que ce soit moi son tourmenteur. Ma seconde paluche me fait souffrir, je regarde autour de moi et je vois une de ses brosses à cheveux qui traîne. Je sais pour l’avoir vu sur le net que bien utilisé cet instrument peut s’avérer redoutable. Je serre le manche et sans attendre je reprend la punition. Dès qu’il heurte son fessier le plastique claque dans l’air, le bruit est particulièrement sonore et il accroît ses ardeurs. Ma mère n’en finit plus de se masturber, mais dès lors son émoi est triple, douleur, rabaissement et jouissance viennent de fusionner. Les premières ecchymoses apparaissent, de gros bleus commencent à azurer sa croupe, je lève bien haut mon avant-bras avant de le faire fondre et cela claque et l’outrage toujours davantage et d’un coup elle perd toute décence... Elle jouit à tue-tête dans un hurlement incroyable. J’ai immédiatement stoppé la raclée, je ...
... regarde son derrière se convulser, elle n’arrive pas à se contrôler, tout son bassin est pris de spasmes mécanique. On dirait une chienne qui agite désespérément son arrière-train juste après s’être fait saillir. Elle est à bout de souffle, elle reprend ses esprits avec peine, mais à en juger l’état de sa chatte et de ses doigts elle s’est régalée. J’aurai pu en rester là, mais non, je veux aller jusqu’au bout du châtiment, alors je l’attrape par la tignasse et la couche sur la table basse. « - Reste comme cela, la lune bien relevée ! Je vais revenir... ». Je suis sorti de la pièce, je me suis tapi dans le couloir, je l’observe et comble du bonheur elle ne bouge pas. Elle vient de trouver son maître, je ne suis pas une couille molle comme papa, bien que je sache qu’elle me l’a dit pour que je saute le pas. Dans la salle de bain j’ai attrapé la boite à pharmacie, je vais pouvoir poursuivre son dressage puisqu’il semble que cela soit son souhait le plus cher. Je suis revenu près d’elle, j’ai posé la trousse et je l’ai ouverte, j’y ai trouvé mon bonheur, un gros tube d’arnica. J’en mets une grosse rasade dans ma pogne et tout doucettement je commence à panser ses blessures. Ma paume est toute légères, j’en applique partout, j’enduis méticuleusement chaque meurtrissure. Je l’apaise du mieux que je peux et plus je le fais et plus elle redevient effrontée. Je vois ses phalanges revenir subrepticement sur sa vulve, alors d’une belle mornifle sur sa paluche je lui fais tout stopper sur le ...