La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°872)
Datte: 10/07/2020,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Deux soumis appelés au Château – (suite de l'épisode N°870) - Dès le début de l’après-midi qui suivit cette torride nuit, et comme l’avait exigé Monsieur le Marquis d’Evans, Darla se mit à la disposition de Marie la Cuisinière pour le service de table. Nue comme au premier jour, elle devait servir chaque jour et dès ce premier soir les plats avec seulement son collier d’appartenance à son vénéré Maître. En ce début de soirée, alors que Darla s’affairait nue en cuisine à préparer une Foret-Noire en dessert (ce qui était d’ailleurs sa spécialité pâtissière) Marie lui lança sur un ton sec : - Laisse ton dessert un moment et va dans le hall d’entrée, Monsieur le Marquis t’y attend. Tout se passa très vite dans la tête de Darla, le simple fait que son Maître ait envie de la voir en cette fin d’après-midi, l’excitait déjà. Et c’est dans cet état fébrile qu’elle se hâta à quitter la cuisine pour le grand hall d’entrée… Monsieur le Marquis d’Evans était là, devant l’immense double porte massive fermée. Il était debout bras croisés et imposait Sa domination par Sa position, Son regard, Son charisme. Elle leva doucement les yeux vers les siens. Il planta son regard bleu au fond de son âme. Ce que Darla pouvait y lire lui coupait le souffle. L’intensité de cette conversation silencieuse la troublait fortement et elle sentit son bas ventre s’humidifier encore plus intensément. Darla avait reculé jusqu’à heurter le mur de côté derrière elle. Son souffle était court. L’humidité entre ...
... ses cuisses pouvait difficilement être ignorée. Le Marquis la fixait toujours de ses yeux intenses. Le lien qui unissait leurs regards vibrait d’un chaud désir presque palpable. Elle baissa les yeux signe de sa soumission. Ses genoux fléchirent aussi, c’était le signal qu’il attendait. En deux enjambées le Noble fut sur elle, Il la plaqua contre le mur à l’aide de son corps musclé qu’elle devinait sous Sa chemise. Il plaqua sa bouche contre la sienne, leurs langues se dévorèrent, intimant à leur corps de faire de même. Darla, telle une femelle en chaleur, gémissait, ondulait. Le Marquis la maintenait de tout son poids contre la paroi murale. Il remonta la main le long de sa cuisse et atteignit la fesse ronde, changea d’idée, redescendit jusque sous le genou, l’agrippa brutalement et la plaqua contre sa hanche. La jambe de la soumise ainsi relevée ouvrait l’accès de son entrecuisse qui frottait délicieusement contre le tissu rêche du pantalon du châtelain. Ses plaintes soupirées suppliaient qu’on la libère de ce désir insoutenable. Elle faisait aller son bassin contre les jambes hostiles qui lui refusaient d’abord un plaisir trop facile. Le Marquis laissa aller le genou, puis Il la retourna d’un seul coup rapide contre le mur. Une main entre ses omoplates écrasait sa poitrine contre la tapisserie murale. Son corps revint s’écraser contre le sien. Il empoigna ses mains, d’un mouvement circulaire les fit s’élever au-dessus de sa tête. Le Marquis maintenait ainsi les poignets ...