1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°872)


    Datte: 10/07/2020, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... prisonniers contre le mur au-dessus de Darla. Le visage du Maître se perdait à l’intérieur du cou de la belle, Ses dents mordillaient sans ménagement le lobe de l’oreille droite de Darla. De sa main libre, Il explora, fouilla l’entrejambe trempé pour se retirer aussitôt. Il lui montra sa mouille luisante sur Ses doigts qu’Il enfonça aussitôt au fond de la bouche de Darla Les lèvres du Marquis s’écrasaient contre la nuque, il lâcha enfin ses poignets douloureux. Ses mains larges lui empoignèrent la taille qu’elles maintenaient toujours fermement contre le mur. Sa bouche commença à descendre lentement contre la colonne vertébrale. D’un pied quasi impatient, il écarta ses jambes. Sa langue caressait chaque vertèbre. Elle était au supplice et suppliait maintenant sans retenue. Il lécha ses fesses, lentement, puis, enfin, sa bouche se colla sur la région humide, l’avala presque en entier, s’abreuva de son jus épais. Le Marquis l’embrassait sauvagement, mordait, léchait, fouillait. Darla gémissait de plaisir, elle voulait qu’Il l’empale, la remplisse, fort, fougueusement, sauvagement bestialement … Le Noble s’était relevé, tirant sur son collier pour la voir de face, la soumise se retourna vers Lui, Il la souleva par les hanches comme si elle avait été une poupée de chiffon, la coucha sur la petite table marquetée du hall. D’une main, elle tenta de retirer les objets qui s’enfonçaient douloureusement dans son dos. Avant qu’elle en ait pris conscience, le Marquis d’Evans s’était ...
    ... débarrassé de son pantalon. Darla n’eut que le temps de retirer son bras pour agripper la table qu’Il s’enfonça dans un grognement au plus profond de son ventre. Elle poussa un soupir d’aise, jouissif, la plénitude que dégageait son visage était d’un merveilleux éclat. Darla pouvait sentir le Vit de son Maître en elle par chaque pore de sa peau. Il était imposant, l’emplissait complètement. Elle pouvait le sentir glisser contre ses parois vaginales, les forcer allègrement à s’ouvrir à lui. La soumise contractait ses muscles pour le sentir encore plus, pour l’emprisonner en elle. Elle le voulait au plus profond, sauvagement, sans ménagement. Et Il lui donnait ce grand plaisir qu’Il avait daigné lui accorder. À grands coups de bassin, le Noble labourait maintenant son corps et son corps en redemandait. Ses mains empoignaient ses seins férocement. Elle criait son plaisir par des sons qu’elle ne reconnaissait pas. Mais peu importe, Son Maître la prenait ainsi et Darla ne demandait qu’une seule chose, savourer ce moment de bonheur intense, savourer les multiples sensations de plaisirs qui montaient en elle. Le Marquis la releva, lui empoigna les fesses, toujours son pieu de chair enfoncé en elle. Darla s’agrippa à sa nuque pour ne pas le perdre d’un centimètre. Elle faisait aller son bassin contre le membre toujours d’acier qui arrachait à son ventre des contractions qu’elle ne contrôlait pas. Dans son excitation poussée à l’extrême, elle entreprit de lui retirer sa chemise et, ...