Natasha & Franck (16)
Datte: 10/07/2020,
Catégories:
Transexuels
... celui des vêtements de Johanna qui avait un putain de beau châssis. La flamboyante Alexandra était peut-être la mieux placée pour remarquer ce parallèle. Et sur le refrain, tout le monde repris en chœur « Gimme all your lovin’, all your hugs and kisses too ». Le camion finit par disparaitre du rétroviseur et les barbus nous accompagnèrent jusqu’à destination. Avec suffisamment de temps pour répéter, tenter de dérober quelques inspirations aux muses et locales et universelles pour transformer nos ritournelles en mélodies gonflées comme des spinnakers, en orages de plomb en fusion ou en bourrasques cascadant sur des crêtes, dévalant des pans entiers de massifs montagneux. Le concert se déroulait dans la joie et la bonne humeur générale. Les grands groupes se contentaient le plus souvent de visiter les capitales et les stades. Alors quand un groupe jouait des standards dans des petites salles, les gens ne boudaient pas leur plaisir. D’autant plus que la Norvège était un pays particulièrement amateur de metal, n’en craignant aucunement ses branches les plus sombres et lugubres. Pas de Johanna en vue. Peut-être n’avait elle pas eu le temps de venir. Ou peut-être était elle simplement au fond de la salle, un peu trop loin pour que nous l’apercevions. Tant pis, nous la recontacterions en arrivant à Prague. Au moment de jouer la chanson potache de Diamante, qui invite tout le monde à la party qui a lieu dans sa culotte, Natasha et Alexandra s’amusaient avec leurs instruments, jouant ...
... de leur aspect phallique. Alors que Natasha chantait, la rousse faisait coulisser le manche de sa guitare entre les jambes écartées. Lors du solo de guitare endiablé de Kristina, Natasha, s’éloignant du micro se vengeait et faisait subir à Alexandra une pseudo-fellation avec le manche de sa basse. Puis lorsque Natasha reprenait le refrain, les deux autres tentaient de lui écarter la ceinture de sa jupe comme pour vérifier qu’il y avait effectivement bien une fiesta dans son sous-vêtement. Et quand, en contre-chant, la brésilienne entonnait qu’elle était une mauvaise fille, c’était à son tour de subir les railleries de la bassiste. Ce titre qui durait habituellement à peine trois minutes fut quasiment doublé, tant elles avaient envie de s’amuser. Peut-être qu’il y avait bien une fête dans sa culotte, après tout. Elles conclurent en beauté par une prouesse qu’elles n’avaient jamais tenté jusqu’à présent. Alexandra se collait juste derrière Natasha. Elle passait sa main droite devant pour jouer sur la basse de Natasha qui elle joua sur la guitare derrière elle. Je ne les avais jamais vues faire cela en répétition, pourtant elles avaient bien dû le faire, les petites cachotières ! L’enchaînement avec la chanson suivante se fit sans temps mort, qui persistait dans les allusions sexuelles. « Going down » était le prétexte pour Alexandra de se frotter contre Natasha tout en se laissant glisser à ses pieds, finissant entre ses jambes. Johanna avait échauffé les esprits sur l’aire de ...