Comment je suis devenu l'esclave de ma mère - Histoires de Sexe

Comment je suis devenu l'esclave de ma mère

Comment je suis devenu l'esclave de ma mère - Chapitre I - Ceci est une histoire fictive, aucun des personnages n'a moins de 18 ans. Ce n'est que le premier chapitre de ma première histoire, je vous prierai donc d'être indulgent et d'éviter les commentaires négatifs. Merci, bonne lecture. J’étais sur le chemin pour rentrer chez moi. Je venais de passer la journée avec ma copine, Sarah. Je me sentais lourd et dénué de toute énergie après avoir fait le tour de tous les magasins de vêtements possibles et inimaginables de la ville. Evidemment j’avais les bras endoloris et pour cause je lui servais de porteur durant tout son shopping. Elle s’amusait comme une folle à courir entre les rayons de robes et de pulls, à sauter sur la moindre réduction et à crier à chaque nouvelle paire de chaussures. Je ne peux pas en dire autant, entre les kilos de tissus que je transportais et les slaloms entre les clients tous plus pressés les uns que les autres, ça relevait du sport olympique. Toujours est-il qu’elle avait finis par se fatiguer et par me demander de la raccompagner chez elle, ce que j’ai fais comme un bon gentleman. Après une longue marche pour rejoindre la maison de ses parents en bordure de la ville, chargé comme un âne, elle m’embrassa rapidement, prit ses achats et poussa la porte de chez elle en hurlant « Je suis rentrée ! ». Je m’attendais au moins à une discussion ou à ce qu’elle me propose de rentrer mais rien. Décidément je commençais à me demander si j’étais son copain ou ...

... son chariot élévateur faisant également office de taxi à ses heures perdues. C’est ainsi que mollement, je longeais la rue, traversant ainsi encore un bon kilomètre avant d’enfin arriver devant le petit portail blanc en plastique de chez moi. La porte fit un bruit grinçant, déchirant le silence du lotissement tranquille. « Il faut vraiment qu’on mette de l’huile sur ce portail » pensais-je. Perdu dans mes réflexions je continuais mon chemin jusqu’à la porte d’entrée tout en cherchant frénétiquement les clés dans ma poche. D’un geste lent j’ouvrit la porte en marmonnant « je suis là » à l’attention de ma mère. Cela faisait maintenant 3 ans qu’elle avait divorcé de mon père, un bon à rien fainéant qui courait après toutes les femmes comme après l’alcool. Pourtant il n’avait vraiment pas à se plaindre, c’est une femme magnifique, 42 ans, 1m70 pour 65 kilos, des cheveux noirs comme la nuit, des yeux verts, un visage fin et féminin, sans parler de ses seins fermes en forme de poire et de ses fesses galbées… Je me surpris à penser à elle de la sorte. Je sentis le sang affluer dans mon pénis qui commençait à durcir. En secouant la tête je cherchais à me débarrasser de ces pensées i****tueuses, alors que j’entendais les bruits de pas de ma mère se rapprocher. Elle passa sa tête par l’entrebâillement de la porte de la cuisine et me dis « Ah ça y est tu es rentré ! Pas trop tôt je t’attendais pour passer à table moi ! J’ai une de ces faims, on va manger des haricots avec la viande que ...