Comment je suis devenu l'esclave de ma mère - Histoires de Sexe

Comment je suis devenu l'esclave de ma mère

... j’ai achetée hier. T’as l’air crevé toi… ». Je fis une petite grimace lui signifiant qu’effectivement j’avais perdu la capacité de tenir une discussion digne de ce nom à cause de la fatigue et je pris l’escalier pour aller me changer dans ma chambre. Je n’avais qu’une envie c’était de me jeter sur le lit et de m’endormir, mais mon estomac en avait décidé autrement et il émit un tel gargouillement que je renonçai à dormir pour aller prendre le repas. Avant de redescendre je jetai mon téléphone, mon portefeuille et mes clés sur le lit. J’entendais le bruit de la viande qui cuisait sur la poile brûlante pendant que le présentateur des infos du 20H parlait des problèmes de famine dans le monde. Prenant appui sur la rampe je me laissais glisser jusqu’au rez de chaussée. En arrivant dans la cuisine tout était déjà prêt, la table était mise, les haricots déjà chauds et ma mère s’activait pour finir les steaks. « Ah saloperie ! » dit-elle en retirant rapidement sa main de la poêle. « Tu pourrais quand même être plus énergique ma journée n’a pas été de tout repos non plus je te signale » reprit-elle sèchement en jetant la pauvre viande dans mon assiette. Sans un mot je pris mes couverts et entrepris de couper mon repas tout en suivant les commentaires de la télévision.- « Bon alors, comment va Sarah ? »- « Elle va bien, elle vient de dépenser plus de 200 euros en vêtements et pas loin de 140 euros en chaussures » dis-je en soupirant de fatigue- « Et ben dis donc elle a les moyens ...

... cette petite ! Moi à son âge je devais bosser tout l’été pour me payer une garde-robe. Sers-toi en légumes. »- « Tu sais son père travaille à la banque, je pense que niveau sous ils se mettent bien dans leur famille. »- « Mouais c’est sûr qu’avoir un homme à la maison ça aide. »Je n’avais même pas assez de force pour me vexer de cette remarque, je fis donc mine d’ignorer et je continuais à mastiquer mon steak les yeux rivés vers la télé. A la fin du reportage, le présentateur annonça la suite du programme : « Ils sont grands, petits, durs, mous et surtout tabous. Les jouets sexuels sont en plein essor avec le développement du commerce par internet. Nous verrons comment ils sont fabriqués et qui les utilise. Un reportage signé Jean Ducruyzou et Marie Reperelle. ». Je manquais de m’étouffer en entendant ça, il allait s’en suivre de longues minutes de gêne intense où l’on allait voir défiler des wagons de sextoys. Je jetais un petit coup d’œil furtif du côté de ma mère pour voir si ma gêne était partagée et je fus surpris de voir ses yeux pétiller à l’annonce du sujet. Elle posa ses couverts pour mieux écouter en plissant un peu les sourcils comme si on lui expliquait les nouvelles fonctionnalités de sa voiture. Extrêmement embarrassé, je m’empressais d’avaler mon repas pour pouvoir m’échapper de cette situation inconfortable. A peine finis je sautais de ma chaise pour débarrasser la vaisselle. Ma mère ne prêta pas la moindre attention à ma panique et me demanda de lui passer le sel ...